Luttes de classe

Airbus, Alcatel... encore et toujours, les syndicats sabotent les luttes ouvrières

Les syndicats, le gouvernement, la direction, toute la classe politique et les médias ont polarisé l'attention sur les 10 000 suppressions d'emplois à Airbus où ils ont multiplié les manœuvres pour organiser la division des ouvriers entre eux, disperser leur colère et défouler leur combativité.

Grèves à Airbus, Alcatel, ... : les syndicats organisent la dispersion des luttes

Les annonces de restructurations se succèdent à un rythme infernal. Tous les secteurs sont touchés. Sur les chaînes de montages, dans les bureaux ou les laboratoires, dans les écoles… Face à ces attaques massives, les "spécialistes de la lutte" ne restent pas sans réaction ; au contraire, dans la plus pure tradition syndicale, ils s'activent, déployant toute leur énergie à organiser la lutte… une lutte corporatiste, cloisonnée, morcelée et donc fatalement impuissante.

Israël-Palestine: La lutte ouvrière malgré la guerre

Malgré la spirale de haine nationaliste qui paralyse la plupart du temps la lutte de classe en Israël et en Palestine, les sévères privations économiques résultant de l'état de guerre permanent ont poussé les ouvriers des deux camps antagoniques à se battre pour leurs propres intérêts de classe.

Oaxaca: La combativité ouvrière dévoyée par l'illusion démocratique

La répression que l'Etat a déchaînée contre la population d'Oaxaca met à nu la férocité sanguinaire de la démocratie. Oaxaca s'est transformée depuis cinq mois en une véritable poudrière, dans laquelle les corps paramilitaires et policiers ont été le bras armé de la terreur étatique. Les perquisitions de domiciles, les séquestrations et la torture sont utilisées au quotidien par l'Etat pour rétablir « l'ordre et la paix ».

Crise chez Airbus : les économies prévues vont détruire l'emploi et attaquer les salaires de centaines de milliers d'ouvriers

Aux sacrifices supplémentaires que demande la direction et les « partenaires sociaux », il faut répondre par la lutte. Pour être forts et unis, pour faire reculer les attaques, nous devons rejeter la division entre ouvriers d'EADS et sous-traitants, entre ouvriers français et ouvriers d'Europe ou américains. La concurrence et le profit sont les maîtres-mots des patrons, de l'Etat et des syndicats, pas les nôtres!

Face aux fermetures d'usine, aux suppressions de postes, aux baisses de salaire... une seule réponse : la solidarité ouvrière

Aujourd’hui, tous les ouvriers sont confrontés à la dégradation continue de leurs conditions de vie. Cette réalité incontestable, la bourgeoisie tente malgré tout de la dissimuler, ne reculant pour cela devant aucun mensonge ni devant aucun stratagème pour faire diversion.

A propos d'un article de l'OCL : Emeutes de banlieue ou mouvement anti-CPE, quelles méthodes de luttes pour l'avenir ?

C’est parce que le mouvement contre le CPE était basé non pas sur la destruction des quartiers ouvriers mais sur la solidarité entre les générations, qu’il a pu constituer une force sociale capable de faire reculer le gouvernement.

Crise, révolte et grèves ouvrières

Plus de 10000 morts en un an ; tous les jours et pendant plusieurs mois, la répétition inces­sante des manifestations et de la répression; l'ensemble de l'Iran paralysé par la grève qua­si-générale des ouvriers du pétrole, mais aus­si des hôpitaux et des banques, des transports et de la presse; les universités et les écoles fermées; les avertissements jusqu'aux menaces d'intervention des grandes puissances

Massacre des ouvriers en inde

Le tract qui suit a été récemment envoyé au CCI d'Inde; il est non signé et de source inconnue. Nous le publions parce qu'il relate un épisode important et tragique de la lutte de classe en Inde, épisode qui apporte des leçons à l'ensemble de la classe ouvrière internationale.

Thèses sur la situation internationale.

La crise, qui a commencé à toucher, depuis 1965, les pays développés et dont le cours s'est brutalement accéléré depuis fin 1973, n’est ni une crise de civilisation, ni une crise monétaire, ni même une crise de matières premières, ou de "restructuration"  mais la crise du système capitaliste mondial.

Le capital mondial : crise, lutte de classe et perspectives pour 1976.

L'effondrement de l'équilibre économique, si soigneusement reconstruit à la suite de la boucherie inter-impérialiste de 1939-45, a déjà sévèrement perturbé le fragile statuquo social qui reposait sur lui et qui ne pourra lui survivre. A travers le monde, une immense armée de chômeurs, à la croissance rapide,  atteste le seul futur que le capitalisme décadent peut la misère de plus offrir au prolétariat en plus profonde.

L'évolution de la lutte de classe

Personne ne peut nier que la situation actuelle de la lutte de classe est très différente de celle de 1977-78. A cette époque, surtout dans les pays européens, l'apathie et la désorientation régnaient parmi les ouvriers. Des nuages noirs s'amoncelaient à l'horizon : plans d'austérité, licenciements massifs, aggravation dangereuse des guerres impérialistes...

Combat ouvrier et manœuvres syndicales au Venezuela

L'agitation et la combativité qui se sont manifestées durant la négociation de la dernière convention dans l'industrie textile n'ont pas disparu. A la suite d'une convocation du syndicat des textiles (SUTISS), une assemblée nomme un "comité de conflit" au niveau régional en vue d'organiser une riposte ouvrière.

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