Trotskysme

“Révolution Permanente”, une organisation gauchiste comme les autres: au service du capital!

Deux ans à peine après sa scission avec le NPA, au sein duquel elle avait œuvré pendant près d’une décennie, Révolution Permanente (RP), nouvelle organisation dans le paysage trotskiste, est presque devenue un succès médiatique.

NUPES : un parti va-t-en-guerre pour défendre l’impérialisme français

Le 13 juillet, le Parlement adopte définitivement le projet de « loi de programmation militaire » (LPM) qui prévoit, pour 2024-2030, un budget colossal de 413 milliards d’Euros, en hausse de 40 % par rapport à 2019-2025. Tout le beau monde des élus s’est félicité de l’esprit démocratique qui a régné dans les débats. Lecornu, ministre de la Défense, devait apporter comme cadeau à Macron pour le 14 juillet, l’accord largement majoritaire des députés et des sénateurs, y inclus du Parti socialiste… sauf des écologistes, qui se sont abstenus, de LFI et du PCF qui ont voté contre.

À propos du syndicat autonome de Renault

Un camarade trotskiste, auteur d'un article dans le bulletin "La voix des travailleurs", explique la nécessité actuelle de création d'un syndicat autonome qu'il considère comme la forme d'organisation correspondant aux conditions actuelles. Il pense que le combat révolutionnaire présent doit être mené sous l'impulsion des éléments les plus actifs de la classe ouvrière réunis dans cet organisme.

« Bravo Abd el-krim » ou la petite histoire du trotskisme

Certaines gens souffrent d'un sentiment d'infériorité, d'autres d'un sentiment de culpabilité, d'autres encore de la manie de persécution. Le trotskisme, lui, est affligé d'une maladie qu'on pourrait, faute de mieux, appeler "le défensisme". Toute l'histoire du trotskisme tourne autour de "la défense" de quelque chose. Et quand, par malheur, il arrive aux trotskistes des semaines creuses où ils ne trouvent rien ni personne à défendre, ils sont littéralement malades.

La France : famine, crises, luttes impérialistes

Dans les conditions actuelles de l'économie française, la tâche principale de tout gouvernement à la tête de l'État est de faire accepter au prolétariat, d'une façon ou d'une autre, la situation de misère croissante dans laquelle le capitalisme français, misérable, se trouve obligé de l'entretenir pour ralentir sa faillite.

NUPES, Révolution Permanente, Lutte Ouvrière… Les grandes manœuvres pour saboter la lutte ouvrière!

Dans le mouvement social contre la réforme des retraites en France, les partis de gauche radicale, comme La France Insoumise et ceux d’extrême-gauche n’ont pas de mots assez forts pour appeler à ne rien lâcher et à poursuivre la mobilisation.

Correspondances internationales

Nous avons reçu une lettre d'un camarade trotskiste suisse. Nous citerons quelques extraits de cette lettre et la partie politique de notre réponse.

Extraits de la lettre :

"4°/ Votre reproche au PCI (d'Italie) de s'être constitué en parti montre une tendance très dangereuse de sectarisme et même de défaitisme. Ce qui est faux c'est la politique générale du PCI (d'Italie), non pas le fait d'avoir constitué un parti car, effectivement, même un adversaire doit avouer qu'en Italie le bordiguisme est un parti.

Le congrès trotskiste

Le Parti Communiste Internationaliste (trotskiste) vient de finir son 3ème Congrès auquel nous avons pu assister en partie, certaines séances ayant été publiques et ouvertes aux représentants de la presse[1].

Critiques des différentes plateformes "CR"

La formation des CR, qui date de près d'un an, fut une formation où l'unanimité se porta beaucoup plus sur la lutte contre le trotskisme défini comme un mouvement passé au service de la bourgeoisie que sur une plateforme politique de regroupement des éléments d'avant-garde.

Ce courant, qui se place du côté du prolétariat malgré les scissions et l'absence des bases principielles, conserve une homogénéité organisationnelle mais est incapable, sans le problème important de l'heure, d'avoir une ligne politique suivie et conséquente.

Le groupe trotskiste “Lutte ouvrière” dans le rôle de sergent recruteur de la guerre impérialiste

Emporté dans une dérive opportuniste qui l’avait conduit jusqu’à demander aux militants de son courant d’adhérer aux partis sociaux-démocrates, ceux-là mêmes qui avaient en Allemagne commandité l’assassinat de Rosa Luxemburg et de Karl Liebknecht, Léon Trotsky défendit durant les années 1930 et jusqu’à sa mort la position selon laquelle l’URSS de Staline n’était pas un pays impérialiste. Les épigones de Trotsky n’ont fait qu’exploiter, au bénéfice de la bourgeoisie, ce raisonnement erroné du vieux révolutionnaire pour enfoncer encore plus la classe ouvrière dans la contre-révolution.

Lutte Ouvrière et Révolution Permanente, deux artisans du sabotage des luttes!

Depuis cet été, la situation sociale a évolué de manière significative en Europe. L’aggravation considérable de la crise économique avec, en particulier, la flambée spectaculaire des prix et ses conséquences dramatiques sur les conditions de vie et de travail de la classe ouvrière ont poussé le prolétariat à réagir : en Grande-Bretagne d’abord, et dans d’autres pays européens ensuite comme en France, en Allemagne, en Italie ou en Grèce. Des grèves ont été organisées par les syndicats sous la pression du mécontentement qui règne dans la classe ouvrière.

“Lutte ouvrière” con tre le “bordiguisme”: les contrefaçons d’une officine trotskiste pour discréditer la Gauche communiste

Dans sa revue Lutte de classe n° 186, l’organisation trotskiste Lutte ouvrière (LO) a publié un long article intitulé “Bordiguisme et trotskisme” dans lequel elle stigmatise (en paraphrasant Lénine) la “maladie infantile” de la Gauche communiste : son “sectarisme”. D’après LO, ce serait cette “tare congénitale” de la Gauche communiste qui expliquerait qu’ “aujourd’hui, la Gauche communiste a éclaté entre différents petits groupes sans influence, sans avoir jamais vraiment réussi à essaimer en dehors de l’Italie”.

A propos du livre Que faire de 1917?: une expérience démocratique pour Olivier Besancenot

Que faire de 1917 ?”, c’est la question que pose Olivier Besancenot en titre de son dernier livre. Le porte-parole du Nouveau Parti anticapitaliste (NPA) s’ingénie habilement à jouer le marchand de sable toujours prompt à endormir le prolétariat dans les draps de l’inter-classisme et de la démocratie.

Le communisme est à l'ordre du jour de l'histoire : Castoriadis, Munis et le problème de la rupture avec le trotskisme

"Le jugement d’ensemble porté par nous sur cette tendance, dans un de nos récents numéros d’Internationalisme, aussi sévère qu’il fût, était absolument fondé. Nous devons toutefois porter un correctif concernant son caractère définitif. La tendance Chaulieu ne s’est pas liquidée, comme nous le pressentions, mais a trouvé la force, avec un très long retard certes, de rompre avec l’organisation trotskiste et de se constituer en groupe autonome. Malgré le lourd héritage qui pèse sur ce groupe, ce fait constitue une donnée nouvelle – ouvrant des possibilités à son évolution ultérieure. L’avenir seul nous dira dans quelle mesure il constitue un apport à la formation du nouveau mouvement révolutionnaire. Mais dès à présent on doit leur dire qu’ils ne sauraient s’acquitter de cette tâche qu’à la condition préalable de se débarrasser complètement et au plus vite des tares qu’il a héritées du trotskisme dont se ressent encore le premier numéro de leur revue".

A propos du livre d’Olivier Besancenot "La conjuration des inégaux. La lutte des classes au xxie siècle": le gauchisme pourrit la conscience du prolétariat

Depuis qu’Olivier Besancenot n’est plus le candidat emblématique du NPA aux élections présidentielles, il semble aspirer à de “nobles” fonctions au sein de l’appareil politique de la bourgeoisie, celles de “tête pensante” et de “vulgarisateur” d’un marxisme contrefait et paralysant. Ce n’est pas la première fois que le champion médiatique de la prétendue “gauche radicale” prend la plume, mais avec cet ouvrage, il s’attaque à une question primordiale dans le processus de prise de conscience de la classe ouvrière : la lutte des classes.

Besancenot chez Drucker : la bourgeoisie fait un coup de pub à la LCR

L'émission de Michel Drucker "Vivement dimanche" du 11 mai 2008 a fait couler beaucoup d'encre et de salive. Et pour cause ! Ce divertissement est une véritable institution médiatique habituée à accueillir les "grands de ce monde", comme madame Chirac, Bertrand Delanoë,

Quelques commentaires sur une apologie d'Ernesto "Che" Guevara (à propos d'un livre de Besancenot)

Olivier Besancenot (co-rédacteur de l'ouvrage avec M. Löwy, un spécialiste de l'Amérique latine), s'est efforcé de tisser autour de Guevara une auréole révolutionnaire, n'hésitant pas à le présenter comme l'un des plus fermes opposants au stalinisme.Mais cette rupture avec l'orthodoxie soviétique, cette image de pur révolutionnaire luttant cœur et âme pour la classe ouvrière correspond-elle à la réalité ?.

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