Trotskysme

Affrontements Hamas / Fatah : les organisations trotskistes soutiennent les cliques sanguinaires de la bourgeoisie

Face à un tel déchaînement de violence et de barbarie, comment se positionnent les organisations trotskistes, telles Lutte Ouvrière (LO) ou bien encore la Ligue Communiste Révolutionnaire (LCR) ?

Guerre au Proche-Orient : comment le trotskisme diffuse son poison nationaliste

Derrière leur propagande "pacifiste, les trotskistes ne font encore que semer l’illusion que la paix serait possible dans le capitalisme et qu’une "solidarité internationale" entre les Etats toutes classes confondues pourraient mettre fin à la barbarie guerrière.

Mondial 2006 : Quand la LCR porte fièrement le maillot national

De retour sur le sol national, l’équipe de France de football a reçu une   ovation enthousiaste de toute la classe politique. Jacques Chirac, en chef d’Etat, a ainsi rendu un hommage appuyé aux ‘Bleus’ en déclarant  solennellement : "Vous avez fait à tous égards honneur à la France" . 

Kermesse de "Lutte Ouvrière" : un discours radical pour mieux tromper les ouvriers

Lutte Ouvrière a tenu, comme chaque année lors du week-end de Pentecôte, sa grande fête dans le parc de son château. Encore une fois, l’attraction principale fut sans conteste les inimitables discours contorsionnistes tenus par LO, maniant d’un côté une phraséologie radicale et combative pour de l’autre saper toute volonté de lutte en rabattant les ouvriers vers les ‘solutions’, en forme d’impasse, de la gauche.

Gauchisme : Comment "Lutte Ouvrière" s'est engagée sur le front anti-CPE

Pour ne pas "se couper" du mouvement social, la gauche a été contrainte de "durcir " peu à peu le ton contre le gouvernement Villepin, son CPE, son CNE et sa loi sur "l'égalité des chances", sous peine de se discréditer aux yeux de la classe ouvrière. Il a été frappant de voir se reconstituer à l'issue de ce mouvement la grande famille de la "gauche plurielle".
 

Contribution de Russie - La classe non identifiée: la bureaucratie soviétique vue par Léon Trotsky

Quel était la nature du système ayant existé dans notre pays pendant la pé­riode « soviétique » ?

C'est certainement une des questions princi­pales de l'histoire et, dans une certaine me­sure, des autres sciences sociales. Et ce n'est pas seulement une question académique : elle est très liée à l’époque contemporaine car il est im­possible de comprendre les réali­tés d'aujourd'hui sans connaître celles d'hier.

Fête de Lutte Ouvrière 2005: L'extrême gauche sabote la réflexion politique

Cette année, la grande kermesse annuelle de l’organisation trotskiste Lutte Ouvrière, qui s’est tenue les 14, 15 et 16 mai, dans le parc de son château de Presle en France, était placée sous le signe de la nouveauté. Et des nouveautés il y en a eu. La fête de LO a fait "peau neuve" et le résultat n’est pas passé inaperçu.

"Lutte Ouvrière", un fidèle promoteur de la supercherie électorale

L'organisation trotskiste Lutte Ouvrière (LO) qui s'était tenue à l'écart du référendum de 1992 sur Maastricht, s'est cette fois engagée résolument dans le camp du Non dans la campagne sur le référendum relatif à la Constitution européenne. Cette organisation qui se prétend "révolutionnaire" et qui proclame "défendre les travailleurs" se retrouve dans la cohorte des tenants d'un "Non de gauche" aux côtés du PCF, de la LCR, d'une partie du PS. Avec quelle argumentation ? Pourquoi ?

Le trotskysme contre la classe ouvrière

Né comme courant d'opposition opportuniste à la dégenérescence de l'Internationale communiste et la contre-révolution stalinienne, le trotskysme est passé définitivement du côté de la classe dominante avec son soutien au camp "démocratique" lors de la deuxième guerre mondiale impérialiste. Sa nature fondamentalement anti-ouvrière n'a fait que se confirmer depuis.

Courrier de lecteur : Sommes nous trop "durs" avec les trotskistes ?

Nous avons reçu un courrier d’un lecteur qui, entre autres questions nous transmet la remarque suivante : "(…) Je suis en train de lire les brochures et livres que j’ai pris lors de la dernière réunion [publique du CCI] (Décadence, Gauche Italienne, RI…). Je le dis franchement, j’ai beaucoup de sympathie pour vos idées; par contre j’ai une petite critique (constructive) à faire. Même si je ne suis pas trotskiste, je crois que le ton qu’emploie RI envers les trotskistes est trop dur et que ça vous donne une image de "sectaire" et de "donneur de leçons".

Réponse à un groupe trotskiste ("CRI")Les prolétaires n'ont pas de patrie


Nous avions effectué au début de l’année 2004 un échange d'e-mails avec le groupe Communistes Révolutionnaires Internationalistes (CRI) qui, au nom d’un trotskisme authentique, prétendait rompre avec la logique trotskiste officielle. Nous avions également reçu de la part de ce groupe un certain nombre de documents que nous avons lus, de même que l'ensemble de ses publications en ligne sur son site Internet. Suite à cette lecture, nous avons été en mesure de lui apporter la réponse circonstanciée que nous reproduisons ci-dessous. Dans celle-ci, nous mettons en évidence, en nous appuyant sur Lénine, qu'au sein du trotskisme actuel, il n'existe pas de possibilité de défense des positions du prolétariat. Vouloir rompre avec une organisation trotskiste particulière, sans rompre avec la logique trotskiste même, ne peut aboutir en dernière instance, sur la question de la guerre, qu'à apporter son soutien à une fraction de la bourgeoisie contre une autre.

 L’histoire du mouvement ouvrier a tragiquement appris aux communistes que des partis prétendant défendre la classe ouvrière et l’avènement du socialisme ou du communisme n’avaient, en fait et quelle que soit la conscience qu'en avaient leurs militants, pour objectif véritable que la défaite de la classe ouvrière, le maintien de l’exploitation capitaliste et, finalement, le sacrifice de la vie de millions de prolétaires pour les intérêts de leur bourgeoisie nationale lors des guerres impérialistes du 20e siècle.

Fête de "Lutte ouvrière" 2004 : Comment embrouiller la conscience des prolétaires

Aujourd'hui, l'accumulation d'atrocités comme actuellement en Irak, la généralisation du terrorisme et l'accélération brutale des attaques contre les conditions de vie de la classe ouvrière (réforme des retraites, de l'assurance chômage et maladie) suscitent inexorablement une série d'interrogations croissantes chez cette dernière et plus particulièrement au sein de ses minorités les plus avancées.

Quel avenir nous réserve cette société ? Quelle signification peut-on donner à toutes ces attaques ?
Dans ce flot de questionnements, qui offre un terrain propice au développement d'une réflexion en profondeur dans la classe ouvrière sur la nature du capitalisme, il est tout à fait légitime de se demander de quelle façon une organisation telle que Lutte Ouvrière (qui prétend être révolutionnaire) participe à la fructification de ce processus. La question est d'autant plus légitime que vient de se dérouler, du 29 au 31 mai, l'édition 2004 de la fête de LO.

Campagne électorale de LO et de la LCR : Le mensonge d'une prétendue Europe sociale

"Après la baffe électorale des élections régionales, à la tonalité clairement anti-libérale, la droite n'en demeure pas moins résolue à faire passer son programme de démolition sociale (...) Dans ces conditions, il est clair que les prochaines élections européennes devront enfoncer le clou : le gouvernement C.R.S. (Chirac, Raffarin, Sarkozy) et sa politique libérale n'ont plus la moindre légitimité. Par la rue et par les urnes, ils doivent être chassés" (Bulletin de la Fédération des Bouches-du-Rhône de la Ligue Communiste Révolutionnaire). Sur la même longueur d'onde, Lutte Ouvrière déclare dans son n° 1867 : "A coup sûr, les élections européennes offrent une nouvelle occasion de désavouer la politique de ce gouvernement à plat ventre devant le grand patronat et le Medef et qui, après avoir amputé les retraites, s'attaque à l'assurance maladie, au droit de se soigner convenablement. Ce serait dommage de ne pas se saisir de l'occasion." (Editorial d'Arlette Laguiller).

La contribution de "Lutte Ouvrière" à la mystification électorale (2004)

Dans un éditorial signé Arlette Laguiller et titré "Un vote qui fait plaisir, mais qui n'est pas suffisant", l'hebdomadaire trotskyste Lutte Ouvrière du 26 mars lâche deux ou trois petites phrases qui soulèvent pour le moins quelques questions. Après avoir clamé sa satisfaction suite au deuxième tour des élections régionales : "Au bout de deux ans de gouvernement, les électeurs ont dit son fait à Raffarin. Et c'est bien réjouissant!", LO explique sa conception de l'électoralisme : "Les élections ne peuvent apporter le bonheur, elles ne peuvent que redonner le moral. Espérons que celles-ci le feront. En tout cas, ni LO ni la LCR ne sont des partis électoralistes, même s'ils se présentent aux élections. Car ils ne cherchent aucune place dans l'appareil d'État, qui ne peut être qu'au service de la bourgeoisie."

Histoire du courant trotskiste : La véritable origine bourgeoise de "Lutte Ouvrière"

La véritable histoire de Lutte Ouvrière. Le livre est récent et son titre pour le moins alléchant.

  • D'où vient la principale composante du mouvement trotskiste en France ?
  • Où plonge-t-elle ses racines politiques ?

La question est d'autant plus légitime que l'on juge du camp auquel appartient une organisation politique dans un premier temps de sa filiation. Ce recueil d'entretiens réalisé par Christophe Bourseiller (écrivain et journaliste bourgeois intronisé pour l'occasion spécialiste de l'extrême gauche) avec le méconnu gourou de LO, Robert Barcia (alias Hardy), s'il sert avant tout de "coming out" pour ce dernier, une façon de polir l'image trop sectaire de son groupe, aborde tout de même le chapitre de l'origine historique de l'Union Communiste (nom politique de LO).

Alliance électorale entre LO et la LCR : un nouveau piège pour la classe ouvrière

Face à une telle promotion (commerciale), quel crédit les ouvriers peuvent-ils accorder à ce produit électoral que constitue le tandem Laguiller-Besancenot. Autrement dit, LO et la LCR sont-elles des organisations révolutionnaires comme elles le prétendent ?

tribune sénatoriale pour "Lutte Ouvrière"

Il faut rappeler qu'en 2001, LO a présenté des candidats aux élections sénatoriales. Depuis quand les élections sénatoriales permettent-elles d'être une tribune pour exposer le programme révolutionnaire ? LO ne répond pas à cette interpellation et de toute façon aucun article de sa presse n'en parle, aucun discours d'Arlette ou de ses sbires sur le sujet.

A propos du livre de Besancenot : les cent recettes de la LCR pour ne pas détruire le capitalisme

"Un autre monde est possible." Ce slogan nous le connaissons tous, il est devenu la marque de fabrique de ce fameux courant anti-mondialisation dans lequel la Ligue Communiste Révolutionnaire occupe, du moins en France, une place de choix.

Argentine, les trotskistes défendent les intérêts de la bourgeoisie


La classe dominante s'inquiète de la possibilité que la crise économique qui conduit l'économie argentine à la faillite, ne s'étende à d'autres pays d'Amérique Latine, notamment le Venezuela, la Colombie, et l'Uruguay. Elle craint le retour d'une crise comme celle qui a frappé le Sud-Est asiatique en 1997, voire quelque chose de pire qualitativement et quantitativement.
Le Fonds Monétaire International ayant écarté toute possibilité de nouveaux emprunts, la seule alternative qui reste pour l'Etat argentin, est de frapper encore plus durement la classe ouvrière et les autres couches non-exploiteuses par ses mesures d'austérité.
Une série d'attaques contre les conditions de vie de la classe ouvrière a provoqué des grèves, des manifestations, et d'autres formes de lutte. Dans RI n°316 nous en avons donné des exemples, tout en soulignant les obstacles auxquels la classe ouvrière fait face : la force des syndicats, le poids des idéologies nationalistes et autres, le danger de se laisser emporter dans la marée d'un mouvement incluant d'autres classes sociales, avec d'autres intérêts et d'autres méthodes de lutte.

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