Mexique

Mexique : l'ouragan Otis, une démonstration du caractère destructeur du capitalisme

Une fois de plus, la bourgeoisie de tous bords, devant les cadavres, l'impuissance, le désespoir et la souffrance de centaines de milliers de personnes, en grande majorité des travailleurs, se montre dans toute sa bassesse et sa vilenie à l'occasion de l'ouragan Otis, qui a frappé Acapulco et ses environs (environ un million d'habitants) avec une force de 250 km/h pendant deux heures, frappant tout sur son passage.

Grève des enseignants de l’UNAM (Mexique): Se réapproprier les leçons des luttes passées

Personne ne doute de l’augmentation du nombre de chômeurs dans le monde en raison du ralentissement de l’activité économique et de l’aggravation de la crise, accélérée encore par le Covid-19. Au Mexique, selon les données officielles, le nombre de chômeurs a augmenté de 117 % après la pandémie, ce qui représente 2,43 millions de travailleurs, dont près de 57 000 sont sans emploi depuis plus d’un an.

Grève chez General Motors: les syndicats divisent les travailleurs et les montent les uns contre les autres

Le capitalisme a de plus en plus de mal à gérer sa propre crise économique et cela se répercute dans tous les secteurs de l’économie mondiale : l’endettement s’accroît, le travail précaire est de plus en plus massif, les délocalisations d’usines vers des pays avec des coûts de production moindre augmentent, etc. En outre, la crise oblige la bourgeoisie à prendre de nouvelles mesures pour restructurer la production, mesures dont les ouvriers sont systématiquement les principales victimes.

Grèves dans les maquiladoras (Mexique): le mirage syndicaliste a stérilisé la combativité ouvrière

Matamoros est une ville de l’État de Tamaulipas, qui est considérée comme l’une des régions les plus dangereuses du Mexique. Elle est le théâtre d’affrontements incessants entre les gangs mafieux qui se querellent pour leurs zones de contrôle, semant la mort et la terreur.

Octobre 1968 au Mexique: le Massacre de Tlatelolco (place des Trois Cultures) montre le vrai visage du capitalisme

On estime qu’entre 300 et 500 personnes ont été massacrées par l’armée le 2 octobre 1968 sur la place Tlatelolco (Place des Trois Cultures). Alors que le nombre exact et, encore moins, la liste officielle des victimes ne sont pas connus jusqu’à aujourd’hui, la bourgeoisie a su utiliser et exploiter ses propres crimes.

Massacre d'étudiants au Mexique: le vrai visage du capitalisme pourrissant

Le 26 septembre dernier, dans l'État de Guerrero au Mexique, situé à environ 400 km au sud de Mexico, des étudiants de l'École Normale d'Ayotzinapa se sont rendus à Iguala, ville distante de 250 km, pour préparer avec d'autres une manifestation devant avoir lieu la semaine suivante, le 2 octobre, en mémoire du massacre des étudiants en 1968 sur la place des Trois-Cultures de la capitale  (Tlatelolco). 

Manifestations du 1er décembre à Mexico: derrière le triomphe de Peña Nieto, la provocation et la répression

Le jour même de l’investiture du nouveau président du Mexique et alors que se déroulaient des manifestations contre lui, de violents affrontements avec la police ont eu lieu en plein centre de Mexico, quadrillé par un service d’ordre impressionnant, sous l’impulsion de provocateurs infiltrés dans des groupes de jeunes manifestants, et notamment en excitant de petits groupes anarchistes.

Le Mexique entre crise et narcotrafic

La presse et les informations télévisées du monde entier transmettent régulièrement des images du Mexique dans lesquelles sont mis au premier plan les affrontements, la corruption et les assassinats, qui résultent de la "guerre contre le narcotrafic". Mais tout ceci apparaît comme un phénomène étranger au capitalisme ou anormal, alors que toute la réalité barbare qui va de pair est profondément enracinée dans la dynamique du système d’exploitation actuel. C'est, dans toute son étendue, la façon d’agir de la classe dominante qui est ainsi révélée, à travers la concurrence et les rivalités politiques exacerbées entre ses différentes fractions.

Au Mexique, narcotrafic et décomposition du capitalisme

Plus de 40 000 morts, un nombre incalculable d’actes barbares allant du viol à la torture systématique banalisés par le contexte de guerre civile, voilà le bilan de la guerre qu’a entrepris depuis décembre 2006 le gouvernement mexicain présidé par Felipe Calderón entre cette date et avril 2011. Une guerre “sale” où la population civile vit sous la terreur des mafias, de la police, de l’armée et des groupes paramilitaires d’assassins à la solde des uns ou des autres.

Les élections au Mexique et au Pérou sont un piège contre les travailleurs

Que ce soit au Mexique ou au Pérou, les attentes autour des élections sont amplifiées au maximum et par tous les moyens de communication pour maintenir l’intérêt des travailleurs fixé sur des sujets qui sont bons pour la bourgeoisie et qui sont partout les mêmes : tel ou tel parti est le meilleur pour en finir avec la crise ou l’insécurité, telle ou telle alliance serait meilleure pour signer des accords qui permettent de réaliser les reformes légales nécessaires pour les affaires capitalistes, toujours présentées, cela va de soi, comme bénéfiques “pour les pauvres enfin, en dernière instance, toutes ces campagnes ont comme axe le culte de la personnalité des différents candidats dont il faudrait valoriser les attributs au moment de voter.

Mexique : l’obésité, nouveau visage de la misère sous le capitalisme

Le Mexique est désormais sur la première marche du podium du si peu enviable concours mondial du "pays au plus fort taux d'obésité". Ce texte est la traduction de l'article rédigé par nos camarades de Revolución Mundial (publication du CCI au Mexique) sur ce sinistre record.

Mexique : Le capitalisme est le vrai coupable de la "crise de l’eau" !

La question de l'eau est un des aspects qui met en évidence le danger auquel le capitalisme expose l'humanité, à tel point que l'ONU elle-même reconnaît que plus d'un million d'êtres humains ne peuvent jouir d'approvisionnement en eau potable. Rien qu'au Mexique, les chiffres

Oaxaca: La combativité ouvrière dévoyée par l'illusion démocratique

La répression que l'Etat a déchaînée contre la population d'Oaxaca met à nu la férocité sanguinaire de la démocratie. Oaxaca s'est transformée depuis cinq mois en une véritable poudrière, dans laquelle les corps paramilitaires et policiers ont été le bras armé de la terreur étatique. Les perquisitions de domiciles, les séquestrations et la torture sont utilisées au quotidien par l'Etat pour rétablir « l'ordre et la paix ».

Le caractère réactionnaire des nationalisations dans la phase impérialiste du capitalisme (gauche mexicaine 1938).

Dans le n° 10 de la REVUE INTERNATIONALE (juin-août 1977), nous avons présenté le "Groupe des Travailleurs Marxistes" du Mexique, groupe surgi dans les années les plus sombres du mouvement ouvrier  international. Son surgi s sèment dans les années 1937-39 ne pouvait signifier l’annonce d'une reprise du mouvement mais  l'expression d'un dernier sursaut de conscience communiste de la classe face au cynisme sanglant du capitalisme triomphant qui se préparait à fêter ce triomphe dans l'ivresse de la deuxième guerre mondiale.

Gauche mexicaine 1938

Dans le n°10 de la Revue Internationale (juin-août 1977) nous avons commencé la publication de textes de la gauche communiste mexicaine. Comme nous l'avons proposé, nous avons continué ce travail, il est vrai avec retard, mais indépendamment de notre seule volonté, en publiant dans le dernier numéro (19)  le texte sur "Les nationalisations".

Correspondance internationale : le développement de la vie politique et des luttes ouvrières au Mexique

Le capitalisme est un tout. La crise chronique du capitalisme touche tous les pays du monde. Partout les gouvernements aux abois ont recours à la même politique, aux mêmes mesures : attaque forcenée et frontale contre les conditions de vie de la classe ouvrière. Partout la classe ouvrière riposte en s'engageant dans la lutte pour la défense de ses intérêts vitaux et partout la lutte prend de plus en plus un caractère massif.

Débat International : crise et décadence du capitalisme (Critique au CCA, Mexique)

Dans la Revue Internationale n° 50 nous avions rapidement présenté le Grupo Proletario Internacionalista du Mexique à l'occasion de la sortie du premier numéro de leur revue: Revolucion Mundial. Aujourd'hui, au moment où vient de sortir le deuxième numéro, nous publions ici un texte de critique du GPI aux "thèses du Collectif Commu­niste Alptraum" (CCA), lui aussi du Mexique , publiées dans notre Revue Internationale n° 40 en janvier 1985.

Correspondance internationale : adresse au milieu prolétarien et à la classe ouvrière (GPI, Mexique)

Nous publions ci-dessous le communiqué du Grupo Proletario Internacionalista du Mexique sur l'agression dont il a été victime de la part d'éléments issus de la décomposition du gauchisme. Nous partageons entièrement les positions qui y sont développées et affirmons notre totale solidarité avec le GPI.

Milieu politique : salut a "Comunismo" n° 1

Nous avons déjà présenté dans cette revue le COLLECTIF COMMUNISTE ALPTRAUM du Mexique (REVUE INTERNATIONALE N° 40). Nous y avions publié les thèses par lesquelles les camarades du C.C.A. se situaient et se présentaient au milieu révolutionnaire et au prolétariat international. Les thèses ne constituaient pas la plateforme d'un groupe politique prolétarien. Le C.C.A. n'est pas encore un groupe politique constitué, mais un "collectif" en évolution et en pleine clarification politique. Les positions qui étaient  présentées dans ces thèses s'inscrivaient sans doute   possible  dans le camp révolutionnaire.

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