Mexique

Milieu révolutionnaire : thèses du collectif communiste Alptraum (Mexique)

Les positions politiques d'un groupe révolutionnaire constituent un élément crucial pour comprendre sa réalité.   Mais  cela  ne  suffit  pas.

Il faut aussi envisager la pratique du groupe et la dynamique globale de son évolution : d'où vient-il, vers où peut-il aller ? Une même erreur politique, par exemple, aura une signification très différente suivant qu'elle est le fait d'un jeune groupe qui tâtonne à la recherche d'une cohérence politique de classe, ou qu'elle soit commise par une "vieille" organisation sur la pente d'une dégénérescence ou sclé­rose  irréversible.

Grupo Proletario Internacionalista : crise et luttes ouvrières au Mexique

Nous publions ici un article du Grupo Proletario Internacionalista du Mexique. Nous avons déjà présenté ce groupe dans les numéros 50, 52 et 53 de notre revue. Cet article sur la situation au Mexique exprime la position du GPI. Cette prise de position est parue dans la publication du groupe Revolucion Mundial n°4 avant les élections présidentielles mexicaines de juillet dernier.

Comment est organisée la bourgeoisie : La bourgeoisie mexicaine dans l'histoire de l'impérialisme

Différents facteurs, que ce soit le fait d'être une réserve de matières premiè­res (minéraux, pétrole) ou surtout sa situation géographique -une longue frontière avec les Etats-Unis -, confèrent au Mexique une importance particulière au sein des relations impérialistes

Textes de la Gauche Mexicaine (1937-38)

  • La guerre d'Espagne de 1936-39 devait être une épreuve décisive pour les groupes de gauche issus de la 3ème Internationale passée définitivement dans le camp de la bourgeoisie. Commencée comme une riposte foudroyante et spontanée des masses ouvrières contre le soulèvement de 1'Etat-major de l'armée sous la conduite de Franco, cette riposte de classe s'est vue rapidement déviée et dévoyée de son terrain de classe, avec l'aide de la "gauche", des partis socialiste et stalinien et aussi des anarchistes de la FAI et des syndicalistes de la CNT, pour se transformer en une guerre capitaliste.

Que les partis socialistes et staliniens exaltent la campagne pour la guerre et prennent leur place à la tête de celles-ci n'a rien de surprenant. Passés depuis longtemps dans le camp du capitalisme, ces partis "ouvriers" ne font qu'accomplir leur tâche ; la guerre n'étant rien d'autre que la continuation de la politique de défense des intérêts du capital national sous une autre forme. Par leur passé "ouvrier" et "socialiste", ces partis sont aussi les mieux placés parmi les forces politiques de la bourgeoisie pour mystifier la classe ouvrière, la détourner de sa lutte et l'embrigader dans le massacre impérialiste.

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