Europe

Balkans, Moyen-Orient : derrière les accords de paix, toujours la guerre impérialiste

Poignée de main historique, et généreusement médiatisée, entre Yasser Arafat, président de l'OLP, et Yitzhak Rabin, premier ministre israélien. Après 45 ans de guerres entre Israël et ses voisins arabes, et notamment palestiniens, c'est un événement considérable auquel Clinton, l'orga­nisateur de la cérémonie, a voulu donner valeur de symbole : la seule paix possible est la « Pax americana ».

Décadence du capitalisme : l'impossible « unité de l'Europe »

La bourgeoisie est-elle capable de donner un début de solution à la question de la division du monde en nations, source de di­zaines de millions de morts dans les guerres mondiales et locales qui ont ensanglanté la planète depuis le début du siècle ? C'est en tout cas ce qu'ont largement suggéré, à différents niveaux, di­verses tendances politiques pro européennes.

Qui peut changer le monde ? (1ere partie) : Le prolétariat est bien la classe révolutionnaire

« Le  communisme est mort ! Le  capitalisme l'a  vaincu parce qu'il est le seul système qui puisse fonctionner ! Il est inutile, et même dangereux, de vouloir rêver à une autre société ! » C'est une campagne sans précédent que la bourgeoi­sie a  déchaînée  avec l'effondrement du bloc de l'Est et des régimes prétendument « communistes ».

Montée de l'extrême-droite en Europe : Existe-t-il un danger fasciste aujourd'hui ?

Deux événements récents ont illustré la montée des partis d'extrême droite (ceux d'entre eux désignés comme "populistes") en Europe :

- l'accession-surprise de Le Pen "en finale" des élections présidentielles en France avec 17 `% des voix au premier tour ;

- la percée fulgurante et spectaculaire de la "liste Pim Fortuyn" aux Pays-Bas (lui­ même assassiné quelques jours auparavant et dont les funérailles médiatisées ont ali­menté une véritable hystérie nationaliste) qui a raflé 26 sièges sur 150, faisant ainsi son entrée au Parlement, alors que cette force politique n'existait pas trois mois aupara­vant.

Aggravation de la guerre en ex-Yougoslavie : Plus les puissances parlent de paix, plus elles sèment la guerre

La barbarie guerrière qui depuis quatre ans répand la mort, la des­truction et la misère dans l'ex-You­goslavie a connu au cours du prin­temps 1995 un nouvel enfoncement dans l'horreur. Pour la première fois les deux fronts principaux de cette guerre, en Croatie et en Bosnie, après une brève période de moindre intensité guerrière, se sont rallumés simultanément, menaçant d'entraî­ner un embrasement généralisé sans précédent. Derrière leurs dis­cours « pacifistes » et « humanitai­res », les grandes puissances, véri­tables responsables et instigateurs de la plus sanglante guerre en Europe depuis le deuxième conflit mondial, franchissent de nouvelles étapes dans leur engagement. Les deux plus importantes, par le nom­bre de soldats déjà envoyés sur place sous l'uniforme de l'ONU, la Grande-Bretagne et la France, ont entrepris d'accroître fortement leur présence, qui plus est, en consti­tuant une force militaire spéciale, la Force de réaction rapide (FRR), dont la spécificité est d'être moins dé­pendante de l'ONU et plus directe­ment sous le commandement de leurs gouvernements nationaux.

L'épais tissu de mensonges qui re­couvre l'action criminelle des princi­paux impérialismes de la planète dans cette guerre s'est encore déchi­ré un peu plus, laissant entrevoir le caractère sordide des intérêts et des motifs qui les animent.

Lutte de classe : le prolétariat ne doit pas sous-estimer son ennemi de classe

Avec l'effondrement des régimes sta­li­niens d'Europe de l'est à la fin des an­nées 1980 et toutes les campagnes médiatiques qui se sont déchaînées sur la « mort du communisme », la « fin de la lutte de classe », voire la « disparition de la classe ouvrière », le prolétariat mondial a subi une défaite idéologique massive, une défaite aggravée par les événements qui ont suivi, notamment la guerre du Golfe en 1991, et qui ont en­core amplifié son sentiment d'impuis­sance. Depuis, notamment à partir des grands mouvements de l'automne 1992 en Italie, le prolétariat a retrouvé le chemin des combats de classe, avec de nombreuses difficultés mais de façon indiscutable. L'aliment essentiel de cette reprise des combats prolétariens est constitué par les at­taques incessantes et de plus en plus brutales que la bour­geoisie de tous les pays est conduite à déchaîner en même temps que son système économique s'enfonce dans une crise sans issue. La classe domi­nante sait parfaitement qu'elle ne pourra faire passer ces at­taques et empêcher qu'elles ne conduisent à une radicalisa­tion des luttes ou­vrières que si elle met en place tout un arsenal politique desti­né à dévoyer ces dernières, à les con­duire dans des im­passes, à les stérili­ser et les défaire. Et pour ce faire, elle doit pouvoir compter sur l'efficacité de ces organes de l'Etat bourgeois en mi­lieu ouvrier que sont les syndicats. En d'autres termes, la ca­pacité de la bour­geoisie à imposer sa loi à la classe ex­ploitée dépend et dépen­dra du crédit que les syndicats et le syndicalisme se­ront capables d'établir auprès de cette dernière. C'est juste­ment ce que les grèves de la fin 1995 en France et en Belgique ont démontré de façon très claire. C'est ce que montre à l'heure actuelle l'agitation syndicale dans le principal pays européen : l'Allemagne.

Ex-YOUGOSLAVIE : un nouveau cran dans l’escalade guerriere

Face à l’anarchie et au chaos  grandissant qui caractérisent les rap­ports de la bourgeoisie au niveau in­ternational depuis l’effondrement du bloc de l’Est il y a six ans, on as­siste à une nouvelle pression très forte des Etats-Unis, comme lors de la guerre du Golfe, pour réaffirmer leur leader­ship menacé et leur rôle de gen­darme du « nouvel ordre mondial ». Parmi les expressions les plus signi­ficatives de cette pression, le Proche-Orient reste un terrain privilégié des manoeuvres de la bourgeoisie améri­caine. Les Etats-Unis profitent à la fois de leur solide tutelle sur un Etat israélien isolé dans la région, obligé de marcher derrière eux, et de la si­tuation de dé­pendance d’Arafat, placé sur un siège éjectable, pour accélérer le processus de « pax americana » et renforcer leur contrôle et leur mainmise sur cette zone stra­tégique essentielle, plus que jamais soumise à des convulsions.

Euro : l'aiguisement des rivalités capitalistes

La réunion au sommet des chefs d'Etat de l'Union Européenne début mai 1998 avait pour but de couronner dignement l'introduc­tion de la monnaie commune, l'Euro. Ceux-ci étaient venus à Bruxel­les pour célébrer leur victoire sur l'« égoïsme nationaliste ». Auparavant, le chancelier allemand Helmut Kohl nous avait assuré que la nouvelle mon­naie incarne surtout la paix en Europe pour le prochain siècle et en particulier le dépas­sement de la rivalité historique meurtrière entre l'Allemagne et la France.

Campagne sur la constitution européenne: mensonge et mystification pour cacher les attaques

A travers le référendum, la bourgeoisie française, par son aile de gauche (gauche du PS et extrême gauche) a réussi à attirer une grande partie de la classe ouvrière sur le terrain électoral et démocratique. Elle ne peut que se réjouir de cette victoire momentanée sur le prolétariat. Pourtant tout a été fait par la bourgeoisie en France et dans les principaux pays européens pour faire accepter la constitution, qui se révélait être d’une très grande importance, notamment pour la bourgeoisie française et allemande.

Crise de l'union européenne: Une manifestation de la décomposition capitaliste

La classe ouvrière ne doit pas se laisser berner, l’Union Européenne n’a jamais eu et n’aura jamais pour but la paix. Tout au contraire, elle est une association de malfaiteurs, un regroupement de requins impérialistes (lire page 3). Cette nature profondément belliciste transpire d’ailleurs par tous les pores de ce Traité 

Traité sur la constitution européenne "Oui ou Non", un choix fondé sur le mensonge et la mystification

Quelques jours avant le vote, chaque "électeur-citoyen" a reçu dans sa boîte à lettres le texte complet du Traité, un pavé tout simplement indigeste et illisible. C’est pourquoi, faisant œuvre de pédagogie et d’esprit démocratique, l’Etat y a joint sous forme de petite brochure le "Projet de loi autorisant la ratification du traité établissant une Constitution pour l’Europe"1. En une dizaine de pages, les axes du Traité y sont exposés simplement. Après cette lecture très instructive, tout électeur était censé pouvoir répondre objectivement, en toute connaissance de cause et donc en toute liberté, à la question référendaire : "Approuvez-vous le projet de loi qui autorise la ratification du traité établissant une Constitution pour l’Europe ?". OUI ou NON !

Crise de l'Union européenne - Une manifestation de la décomposition du capitalisme

A travers le référendum, la bourgeoisie française, par son aile de gauche (gauche du PS et extrême gauche) a réussi à attirer une grande partie de la classe ouvrière sur le terrain électoral et démocratique. Elle ne peut que se réjouir de cette victoire momentanée sur le prolétariat. Pourtant tout a été fait par la bourgeoisie en France et dans les principaux pays européens pour faire accepter la constitution, qui se révélait être d’une très grande importance, notamment pour la bourgeoisie française et allemande.

Référendum européen, victoire du non Mais c'est toujours la bourgeoisie qui gagne

«On a gagné!», scandait au soir du 29 mai le «peuple de gauche», sur la place de la Bastille à Paris. «Cette victoire est avant tout celle des ouvriers, des employés, des jeunes, des sans-emploi (qui ) se sont ainsi rassemblés jusque dans les urnes pour rejeter cette camisole libérale»,  déclarait le secrétaire nationale de Parti Communiste stalinien Français , ajoutant : «Cette victoire s’est construite (…) dans une dynamique de rassemblement populaire qui évoque les grands moments du Front populaire ou de mai 1968» ; «C’est un mouvement de revanche sociale» évoquait le trotskiste Besancenot de la LCR Française; «La réfutation de cette Constitution donne de l’espoir aux chômeurs et aux gens vivant dans la misère et la précarité: l’espoir que le Non contre la Constitution néo-libérale en France et aux Pays-Bas provoquera un changement brusque dans l’histoire qui mènera à une réorientation radicale dans la politique européenne.» proclamait la «démocratique» et «progressiste» «Fondation Europe Sociale» aux Pays-Bas; «Ce résultat est carrément favorable à l’avenir de l’Europe. L’affluence élevée et les nombreuses discussions montrent que l’Europe vit parmi la population, à condition que les gens eux-mêmes aient véritablement quelque chose à dire. Dans deux des trois pays où un référendum s’est tenu, on a vu une affluence élevée et un refus net de la Constitution. Cela montre un large soutien pour une Europe démocratique et sociale.» renchérissait un autre «Comité Constitution Non» de gauche Hollandais.

'Révolution' serbe : une victoire de la bourgeoisie

Au moment où nous bouclons ce numéro, la situation connaît un nouveau soubresaut dans l'ex-Yougoslavie à propos duquel nous tenons à prendre position immédiatement - c'est notre responsabilité d'organisation révolutionnaire du prolétariat qui l'exige -, même si cette prise de position ne peut être que brève. Nos lecteurs peuvent être sûrs que nous allons développer très rapidement notre analyse, et notre intervention etre intervention en générale, sur cette question en particulier à travers nos différentes publications territoriales.

Ainsi

Elections aux Etats-Unis et en Ukraine - L'impasse croissante du capitalisme mondial

Sur fond de massacres dans les différents conflits de la planète, en Irak en premier lieu, deux élections mondialement médiatisées, aux Etats-Unis et en Ukraine, ont tenu la une de l'actualité durant de nombreuses semaines. L'une comme l'autre, au même titre que n'importe quelle élection, ne pouvait en rien déboucher sur une solution à la misère et à la barbarie croissante dans laquelle le capitalisme en crise plonge les prolétaires et les masses exploitées.

Grèves en Allemagne - La nécessité de la solidarité ouvrière

Ces derniers mois, face à la  dégradation des conditions de vie et de travail, face aux menaces de licenciements, de nombreux mouvements de la classe ouvrière marqués par une forte combativité et une forte participation se sont développés en Europe. Ainsi, en Espagne en septembre et en octobre, les ouvriers des chantiers navals de Galice, du Pays basque et d’Andalousie se sont massivement mis en grève contre les licenciements et sont descendus dans la rue à plusieurs reprises, parfois rejoints par ceux des entreprises dépendant de cette industrie navale et largement soutenus par la population. En Italie plus récemment, ce sont les employés des transports publics de Rome, Naples et Milan qui ont simultanément cessé le travail une journée entière pour exiger des augmentations de salaire. En Belgique également, les conducteurs des bus et tramways de la capitale se sont mis en grève totale pour l’embauche de chauffeurs supplémentaires. En Allemagne encore, sous le coup d’une vague de licenciements et de mesures "sociales" qui vont frapper des secteurs centraux de l’économie, venant grossir les rangs des 5 millions de chômeurs déjà existants, la classe ouvrière montre depuis des mois sa détermination à riposter avec force. Dans l’industrie automobile, où menacent licenciements, gel des salaires et augmentation des heures de travail, les ouvriers sont entrés dans une série de grèves dures et de manifestations qui a commencé à Mercedes-Daimler-Chrysler en juillet à Sindelfingen-Stuttgart. Mi-octobre, ce sont 30 000 ouvriers d’Opel à Bochum qui suivaient leur exemple et, début novembre, plus de 4000 étaient en grève chez Volkswagen. Dans la fonction publique encore, l’annonce d’une "réforme" comprenant la suppression de 150 000 emplois, avec augmentation du temps de travail (de 38,5 à 41 heures hebdomadaires) et rémunérations à la "performance", a provoqué tout récemment une vague de grèves et de manifestations dans toute l’Allemagne. Il est certain que les réactions de la classe ouvrière sont encore sous le contrôle des syndicats qui canalisent l’énergie des ouvriers pour les entraîner dans des impasses, brisent leur solidarité et les divisent afin de faire passer les attaques de l’Etat et du patronat allemand. Ainsi, l’IG Metall est arrivé à faire avaler aux ouvriers de Volkswagen une plus grande "flexibilité" des heures de travail et le fait que les nouveaux embauchés le soient à 20% moins cher contre "l’engagement" de la direction à ne pas opérer de licenciements secs d’ici 2007 et une prime de 1000 euros en mars 2005 (pour « compenser » le gel des salaires). Dans les grands magasins Karstadt, le syndicat Verdi, syndicat des services, a même fait prendre un accord particulièrement pourri pour une victoire. Cependant, malgré cette position de force des ennemis du prolétariat, ce dernier montre clairement que le réveil de sa combativité n’est pas éphémère et au contraire annonciateur de l’ouverture d’une nouvelle période dans le développement de ses combats. Aussi, la question de comment et contre qui lutter se pose de façon cruciale. C’est à cette question que répond le tract distribué par la section du CCI en Allemagne lors des manifestations durant la grève à Bochum chez Opel mi-octobre et dont nous publions ici de larges extraits.

Derrière le mythe de "l'unité européenne", la réalité des tensions impérialistes

L'élargissement tant attendu de l'Europe à vingt-cinq pays a enfin eu lieu le Premier mai 2004. Et il a bien sûr donné lieu à de grandes festivités dans les capitales européennes. Comme après le sommet de Maastricht fin 1991, on nous a gavé de grandes déclarations sur cette grande Europe, "continent enfin uni dans sa totalité" et de façon pacifique. Et avec la perspective des élections du 13 juin, il est certain que les trompettes de la propagande bourgeoise vont résoner à nouveau. Encensé comme un "tournant historique", l'élargissement de l'Union Européenne (UE), "formidable machine à exporter la paix et la stabilité" constituerait "l'acquis principal" et "l'achèvement le plus remarquable de l'Europe".

L'auto-célébration de la bourgeoisie ne doit pas faire illusion. Lorsque les bourgeois s'entendent entre eux, c'est sur le dos des ouvriers, sinon ils ne songent qu'à s'empoigner.

Kosovo : Les rivalités impérialistes sont les véritables causes du chaos


Le 16 mars, un fait divers dramatique a rallumé le conflit au Kosovo. Trois adolescents albanais se sont noyés dans une rivière près de la ville de Mitrovica. L'accusation a été immédiate : "Ce sont les Serbes". A Mitrovica vit une grande partie de ce qui reste des Serbes du Kosovo. La ville est séparée par un pont gardé par les troupes françaises sous mandat de l'ONU. Des manifestations se sont organisées dans les heures qui ont suivi ce drame. Pendant trois jours, partout au Kosovo, des groupes bien armés d'Albano-kosovars ont tué des Serbes du Kosovo, brûlé leurs maisons, détruit leurs lieux de culte.

L'élargissement de l'Union européenne

L'Europe: alliance économique et champ de manoeuvre des rivalités impérialistes

Cela fait un peu moins d'un demi siècle maintenant que la bourgeoisie nous parle de construction européenne. L'introduc­tion d'une monnaie commune - l'Euro - nous a été présentée comme une étape fondamentale dans ce processus dont l'ho­rizon serait la mise en place des États-Unis d'Europe. Processus qui serait en bonne voie puisqu'il est prévu un premier élargis­sement de 15 à 25 pays au premier mai 2004 et qu'un projet de Constitution européenne est en cours d'élaboration.

La bourgeoisie serait-elle capable de dépasser le cadre étriqué de la nation ? Serait-elle à même de surmonter la concur­rence économique et ses antagonismes impérialistes ? Pourrait-elle mettre fin à la guerre économique et à la guerre tout court qui a tant de fois déchiré le continent? En d'autres termes, la bourgeoisie serait-elle capable de donner un début de solution à la question de la division capitaliste du monde en nations concurrentes, source de dizaines de millions de morts et qui a en­sanglanté la planète entière, particulière­ment depuis le début du 20e siècle ? Ou encore, la bourgeoisie serait-elle capable de renoncer à l'idéologie nationaliste fer­ment et base constitutive de sa propre existence en tant que classe et source de toutes ses légitimations économiques, politiques, idéologiques et impérialistes ?

Macédoine : les tensions guerrières reprennent de plus belle dans les balkans

Avec la Macédoine, c'est une nouvelle partie des Balkans qui est à son tour au bord de l'implosion et du chaos. Après la Croatie, la Bosnie et le Kosovo, ce nouveau foyer de guerre risque de déstabiliser et d'embraser une fois de plus cette région mise à feu et à sang depuis dix ans. Et une fois de plus, les populations locales sont exposées aux massacres et à la barbarie guerrière à travers le déchaînement des affrontements de cliques nationalistes.

A propos de l'appel lancé par le CCI sur la guerre en Serbie

  • La guerre en Serbie a démasqué les faux révolutionnaires et mis en évidence l'unité de fond des groupes véritablement internationalistes

Les guerres, comme les révolutions, constituent des événements historiques d'une grande portée pour délimiter le camp de la bourgeoisie de celui des révolutionnaires et viennent donner la preuve de la nature de classe des forces politiques.

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