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Guerre en Ukraine : Deux ans de confrontation impérialiste, de barbarie et de destruction

Le 24 février 2022, la Russie a lancé une "opération spéciale" contre l'Ukraine, qui se voulait être un Blitzkrieg[1] à partir du nord et de l'est, avec l'intention de changer le gouvernement de Kiev et d'occuper le Donbass, Zaporijjia et Kherson.

Face à la barbarie de l’État bourgeois, les violences aveugles sont une impasse

La mort tragique du jeune Nahel, à Nanterre, dans la banlieue parisienne, assassiné par un policier, a mis le feu aux poudres. Immédiatement, des émeutes ont éclaté dans les grandes et petites villes de France contre cette ignoble injustice.

Élections législatives en France: La bourgeoisie française touchée à son tour par l’instabilité

Incontestablement, les enjeux auxquels la bourgeoisie française devait faire face lors de ces élections étaient particulièrement importants. Lorsque Macron déclarait le 24 février que « les événements [la Guerre en Ukraine] auront des conséquences durables, profondes sur nos vies », il voulait dire que la guerre qui venait de se déclencher en Europe allait impliquer la détérioration du niveau de vie d’une grande partie de la population française, en particulier de la classe ouvrière.

Élections en France: Seule la lutte de classe peut "changer le monde"

Après le deuxième tour de l’élection présidentielle, marquant la victoire sans grande surprise d’Emmanuel Macron face à sa concurrente Marine Le Pen, les bourgeoisies française et européenne ont pu pousser un véritable « ouf » de soulagement. Le nouveau président et la nation française resteront bel et bien ancrés dans la vie politique de l’UE. Une fois encore, le courant populiste du Rassemblement national (RN) aura été écarté du pouvoir malgré son inexorable progression.

Montée de l’extrême-droite en Europe: Existe-t-il un danger fasciste aujourd’hui? (2005)

La qualification de Marine Le Pen, candidate du Rassemblement national, au deuxième tour de l’élection présidentielle donne l’occasion à la classe dominante d’asséner une nouvelle campagne de « diabolisation » de l’extrême droite en poussant les exploités à « défendre la démocratie » en votant pour Emmanuel Macron, sensé représenter le camp du « bien ». « Démocratie ou dictature » tel est le faux dilemme que tente d’imposer la classe dominante dans la droite ligne des campagnes antifascistes au cours des années 1930.

Non au bulletin de vote, oui à la lutte de classe!

Alors que les deux candidats désignés au premier tour de la présidentielle, Marine Le Pen et Emmanuel Macron, entrent à nouveau en lice pour le second tour, la bourgeoisie et ses médias continuent de propager un mensonge mille fois répété : l’avenir se jouerait dans les urnes. Enjeux pour la bourgeoisie, certes, mais pas pour les ouvriers !

Élection présidentielle en France: Pourquoi la bourgeoisie tient-elle tant à nous faire voter?

Comme à chaque élection présidentielle, toute l’artillerie électorale de l’État bourgeois est à l’œuvre pour rameuter la classe ouvrière vers les urnes. La bourgeoisie a besoin de cette mystification pour maintenir l’illusion que les choses peuvent changer en mieux dans le cadre de la société capitaliste, et assurer sa légitimité aux yeux des exploités.

Affaire des sous-marins australiens, opération Barkhane... L’irréversible déclin de l’impérialisme français

La rupture du « contrat du siècle » pour la vente de sous-marins conventionnels français à l’Australie n’est pas que la perte de quelques milliards d’Euros par l’industrie d’armement tricolore.

Derrière le discours “protecteur” de l’État, les attaques se poursuivent!

Depuis la rentrée, nous assistons à tout un battage idéologique censé nous convaincre d’une formidable reprise économique : « forte demande », « croissance de l’emploi », « pénurie de main d’œuvre »… Bref, une sorte de « boom inattendu » laissant entendre que le capitalisme aurait retrouvé sa vitalité après le sommeil dans lequel la pandémie de Covid-19 avait plongé l’économie mondiale.

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