Ce mois-ci sur notre site en français : décembre 2023

Afficher une version adaptée à l'édition sur imprimante

Les nouvelles publications du mois


Articles publiés ce mois ci

Marxisme et écologie

Andreas Malm : la rhétorique "écologique" en défense de l'État capitaliste (Partie 2)

Dans la première partie de cet article, nous avons montré que le prétendu ‘Lénine de l’écologie’ Andreas Malm ne fait en réalité que défendre une conception complètement bourgeoise sur cette question et qu’il se pose en défenseur et en agent du capitalisme d’Etat agissant sur le terrain de la classe ouvrière.

Conséquences du résultat des élections américaines

Polémique dans le milieu politique prolétarien

La question nationale selon la légende bordiguiste

Le 29 août 1953 (retenez bien cette date) à Trieste, Amadeo Bordiga (1889-1970) présente un rapport devant la réunion inter-régionale de son groupe qui vient de se séparer du Parti communiste internationaliste (PCIste) et qui conserve momentanément le même nom.

Histoire de notre classe

Contribution à une histoire du mouvement ouvrier en Égypte

Après le Sénégal et l’Afrique du Sud, nous traitons, dans une nouvelle série, de l’histoire du mouvement ouvrier en Égypte. Cette nouvelle contribution poursuit le même but principal que les précédentes : fournir des éléments attestant la réalité bien vivante de l’histoire du mouvement ouvrier africain à travers ses combats contre la bourgeoisie (voir Contribution à une histoire du mouvement ouvrier en Afrique, Revue internationale, N° 145, 2e trimestre 2011)

Permanence en ligne - samedi 15 mars 2025 à 15h00.

Ces permanences sont des lieux de débat ouverts à tous ceux qui souhaitent rencontrer et discuter avec le CCI. Nous invitons vivement tous nos lecteurs et tous nos sympathisants à venir débattre afin de poursuivre la réflexion sur les enjeux de la situation et confronter les points de vue. N'hésitez pas à nous faire part des questions que vous souhaiteriez aborder.
Les lecteurs qui souhaitent participer aux permanences en ligne peuvent adresser un message sur notre adresse électronique ([email protected]) ou dans la rubrique « nous contacter » de notre site internet, en signalant quelles questions ils voudraient aborder afin de nous permettre d’organiser au mieux les débat.
Les modalités techniques pour se connecter à la permanence seront communiquées par mail ultérieurement

Le capitalisme « vert » ne peut pas exister

«  Par un beau jour de la Saint-Jean, le soleil brillait dans tout son éclat. Cela se voyait quelquefois, même à Cokeville. Entrevue à une certaine distance, par un temps pareil, Cokeville se trouvait enveloppée d’un halo de brouillard enfumé qui lui était propre et qui semblait imperméable aux rayons du soleil. On devinait seulement que la ville était là, parce qu’on savait que la présence d’une ville pouvait seule expliquer la triste tâche qui gâtait le paysage.

Partie 3 : La Ligue socialiste et la lutte contre le sectarisme

Tout au long de l’histoire de la Fédération sociale-démocrate (Social Democratic Federation, SDF), une opposition s’est constamment formée contre les politiques et les pratiques de la clique dirigeante de Hyndman (voir la deuxième partie de cette série).

Lutte de classe

À propos des grèves (V.I. Lénine)

À la fin de l’année 1899, Lénine écrivait un article intitulé « À propos des grèves », relatif aux grèves qui se développaient alors en Russie

Trois ans de guerre en Ukraine

Une spirale de chaos, de massacres et de militarisme

La guerre en Ukraine est, à ce jour, l’expression la plus représentative du chaos impérialiste mondial qui implique, à différents niveaux, les grandes puissances impérialistes, les pays d’Europe occidentale, mais également d’autres pays comme la Corée du Nord, l’Iran… Plusieurs experts de la bourgeoisie, ainsi que l’ensemble des groupes du milieu politique prolétarien, à l’exception du CCI, voient dans cette situation un moment de la marche vers la Troisième Guerre mondiale.

Manifeste sur la crise écologique

Lectures complémentaires

Une critique plus développée des différentes théories écologistes radicales
– Critique du « communisme de décroissance » de Saito (Révolution internationale 501, 2024).

Nous répondons à l’affirmation de Saito selon laquelle les recherches de Marx sur les questions relatives à l’écologie et aux formes communautaires pré-capitalistes l’ont conduit à abandonner le matérialisme historique et à adopter ce que Saito appelle le « communisme de décroissance ».

L’impasse du militantisme dans les organisations de "défense de l'écologie"

Depuis des décennies, les mouvements écologistes attirent à eux de très nombreux "militants" alarmés par l’état de la planète et désireux d’agir contre la détérioration du milieu ambiant qui menace l’existence même de l’humanité. C’est ainsi que, de par le monde, il existe de nombreuses organisations ou partis politiques qui revendiquent un tel combat sans que leur action ait en quoi que ce soit permis de faire avancer la cause de l’écologie, alors même que la situation sur ce plan ne cesse de s’aggraver dangereusement.

Quelle force sociale peut faire la révolution ?

La seule solution à la spirale infernale de la destruction environnementale et militaire est de renverser le capitalisme et d’aller vers le communisme. Mais la bourgeoisie n’acceptera jamais la fin de son système, la fin de ses privilèges, la fin de son existence en tant que classe dominante et exploiteuse. Elle tentera de maintenir à tout prix son système obsolète. Seule une révolution mondiale peut mettre fin à cette agonie.

Ce que le communisme n’est pas

Quoi ? Le communisme ? L’URSS ? Cette monstruosité ? Le régime stalinien était en effet une abomination. Les travailleurs étaient exploités à outrance, toute opposition était férocement réprimée et la militarisation était à son comble. Quant à la nature, le productivisme « soviétique » était synonyme de destruction, de pollution et de pillage. Mais le communisme n’a rien à voir avec les régimes staliniens ! Hier en URSS et en Europe de l’Est, aujourd’hui en Chine, en Corée du Nord et à Cuba, il n’y a pas une once de communisme.

Le communisme est la seule solution à la crise écologique

Parce qu’il est une société sans classes et sans exploitation, sans nations et sans guerres, le communisme est la seule véritable solution à la crise écologique.

Le communisme est la fin de l’exploitation et du pillage

Le capitalisme, c’est l’exploitation.

Les mouvements citoyens peuvent-il changer le monde ?

L’ampleur du désastre écologique préoccupe une part croissante de la population mondiale, en particulier les jeunes. Face au désastre, toutes sortes d’actions citoyennes émergent.

Les ravages de la guerre

Depuis 1914, la guerre est devenue une donnée permanente sur tous les continents. Deux cents conflits, deux cents millions de morts, deux villes rasées par des bombes atomiques ! Napalm, armes chimiques et bactériologiques, bombes à fragmentation, drones tueurs… les dernières technologies au service de la barbarie.

Face à la crise écologique : Les Etats capitalistes peuvent-ils changer ?

En 1972, le Sommet de la Terre, première grande conférence internationale sur l’environnement, s’est tenue à Stockholm, en Suède. Sous l’égide des Nations Unies, les 113 États présents se sont engagés à lutter contre la pollution. Une déclaration de 26 principes, un plan d’action de 109 recommandations et la création du Programme des Nations Unies pour l’environnement (PNUE) ont été adoptés.

Est-il possible d’empêcher la destruction de la planète ?

L’état de la planète est catastrophique. Le climat se réchauffe plus vite que toutes les prévisions scientifiques, provoquant incendies, sécheresses, tempêtes, inondations… Les océans s’acidifient et, avec eux, les précipitations ; la végétation sous l’eau ou sur terre en subit les conséquences désastreuses. La déforestation mondiale bat des records chaque année et l’asphalte recouvre de plus en plus de terres.

Les élections, un piège pour la classe ouvrière

Bayrou, Valls, Darmanin… Un nouveau gouvernement, pour un monde sans avenir!

« La France entre dans l’inconnu », titrait le journal britannique The Economist, au moment où le gouvernement Bayrou était nommé. On ne saurait mieux dire ! La bourgeoisie française se débat aujourd’hui dans une situation de plus en plus inextricable. Non contente de révéler, à des fins idéologiques, son abyssale dette et déficit budgétaire, elle se retrouve avec un nouveau gouvernement faiblard, que le Président Macron cherche déjà à entraver contre son mentor Bayrou, incapable d’impulser et d’imposer une direction claire à la politique de l’État.

Tract sur les luttes en Belgique

Ça suffit ! Face aux attaques, développons un mouvement massif, uni et solidaire

Les cartes sont sur la table : les gouvernements fédéral et régionaux veulent imposer des dizaines de milliards d’économies chacun dans le cadre de leurs compétences respectives afin de rendre l’économie belge plus compétitive et plus rentable. Tous les secteurs de la classe ouvrière seront fortement touchés par ce large programme d’austérité. La bourgeoisie n’a que trop bien compris que ses plans provoqueraient des réactions dans de larges parties de la classe. Des tactiques éprouvées sont à nouveau utilisées : isoler et diviser les différents secteurs alors que les mesures touchent tout le monde ! La force et la dynamique de la mobilisation du 13 janvier consistait justement à ne pas se faire isoler et à ne pas attendre passivement.

Venez en discuter lors la réunion publique le samedi  1er mars à Bruxelles: rue du Fort 35, 1060 Saint-Gilles de 14h à 18h.


Newsletter type: