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ICConline - octobre 2019

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Pas de solution à la crise du climat sans la destruction du capitalisme!

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Que des bureaucrates d’État assurent la gestion du capitalisme à la place de patrons privés, qu’on repeigne en “vert” la façade décrépite de ce système en décadence, rien ne l’empêchera de plonger l’humanité dans la barbarie.
La vague de protestations organisée par la “Jeunesse pour le climat”, les Verts et les partis de gauche sont présentés, à grand renfort de campagnes médiatiques, comme la voie à suivre pour le salut de l’humanité. Mais pourquoi ces protestations sont-elles si largement soutenues par ceux qui gèrent et défendent le système actuel ? Pourquoi la jeune Greta Thunberg est-elle invitée à s’adresser aux Nations Unies, aux parlements et aux gouvernements du monde entier, ceux-là même qui permettent et organisent au quotidien la destruction de la planète ? Pourquoi la bourgeoisie utilise de plus en plus l’alibi de la protection de l’environnement pour mener ses attaques contres les conditions de vies et de travail des prolétaires (travailleurs, chômeurs ou retraités) ?
Les actuelles campagnes écologistes, les “mobilisations” et autres pétitions visent en réalité à détourner l’indignation causée par les incendies, la pollution, le réchauffement climatique, la disparition des espèces, etc., vers une impasse : prier ceux qui sont responsables de la dégradation de l’environnement (États en tête) de bien vouloir protéger la planète, comme si les lois du capitalisme, la recherche du profit et la concurrence, n’impliquaient pas en elles-mêmes le pillage des ressources, la destruction des forêts ou des océans. Surtout, il s’agit d’entraîner le prolétariat sur un terrain de lutte totalement nuisible à ses intérêts immédiats et historiques : la mobilisation citoyenne et interclassiste où le prolétariat est dilué dans la masse amorphe du “peuple” et où son autonomie politique de classe est totalement niée et attaquée.
Seule la lutte de classe internationale peut mettre fin à la course du capitalisme vers la destruction !

Le CCI organise des Réunions publiques sur ce thème à :

- Lille [1], le samedi 12 octobre 2019 à 15:00

- Marseille [2], le samedi 19 octobre 2019 à 15:00

- Toulouse [3], le samedi 19 octobre 2019 à 15:00

- Paris [4], le samedi 19 octobre 2019 à 15:00

- Nantes [5], le samedi, 16 novembre 2019 à 15:00

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Réunions publiques du CCI

Suicide de l'enseignante Christine Renon: quand l'exploitation capitaliste n'est plus supportable

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Le suicide de l’enseignante Christine Renon le 21 septembre au sein même de son établissement de Pantin en région parisienne rappelle une nouvelle fois la réalité de la souffrance au travail, la férocité de l’exploitation capitaliste de plus en plus insupportable pour les exploités à un point tel que certains préfèrent se donner la mort plutôt que de continuer à endurer des conditions aussi insoutenables. Bien que la bourgeoisie se garde bien de mettre en évidence l’ampleur du phénomène, les études sur le sujet étant embryonnaires, il n’en demeure pas moins que le nombre de suicides sur les lieux de travail n’ont cessé d’augmenter au cours des dernières décennies.

Nous reviendrons dans un futur article sur le drame de Pantin, sur la vague d’indignation légitime que cela a engendré ainsi que sur les réactions syndicales et gouvernementales. Dans l’immédiat, nous republions ci-dessous des articles déjà parus dans Révolution internationale sur le sujet :

- Le suicide et la souffrance au travail [6]

- Suicides au travail : c'est le capitalisme qui tue les prolétaires [7]

- Les suicides à France Télécom sont l'expression de l'inhumanité de l'exploitation capitaliste [8]

- Réunions Publiques à Marseille, Lyon et Grenoble : Harcèlements, pressions au travail : comment y résister ? [9]

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Souffrance au travail

70e anniversaire de la République populaire de Chine: la bourgeoisie entretient son grand mensonge!

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Il y a 70 ans, le 1er octobre 1949, Mao Zedong proclamait la fondation de la République populaire de Chine (RPC) sur la place Tian’anmen à Pékin. Un anniversaire que n’a pas manqué de célébrer l’Etat chinois piloté encore aujourd’hui par le Parti Communiste. Une nouvelle occasion pour la bourgeoisie d’entretenir l’amalgame entre stalinisme et communisme puisque, d’après l’histoire officielle, « l’Etat populaire » serait le fruit d’une « révolution populaire » qui trouverait dans le maoïsme la théorie marxiste adaptée à la Chine. Or, la réalité historique est tout à fait différente de cette misérable falsification. En fait, le maoïsme n’a pu se constituer que sur les décombres de la vague révolutionnaire des années 20, notamment durant la longue période de contre-révolution qui allait suivre suite à l’écrasement sanglant des « communes » de Canton et Shanghai en 1927. Comme le met en évidence la série d’articles que nous republions dans ce dossier, la République Populaire de Chine ne doit son existence qu’à la conjonction du rapport de force impérialiste de l’après Seconde Guerre mondiale et des luttes de factions au sein de l’appareil d’Etat et du Parti Communiste chinois. Aujourd’hui comme hier, le régime chinois n’a rien à voir avec la révolution prolétarienne et la nécessité du communisme. Ce n’est rien de plus qu’une forme caricaturale de capitalisme d’Etat qui œuvre uniquement à la préservation des intérêts du capital chinois. Un simple rejeton du capitalisme décadent et un fossoyeur de la révolution.

Voici ci-dessous plusieurs articles de notre presse sur ce sujet :

_ Le maoïsme, un pur produit de la contre-révolution [10]

_ Chine 1928-1949 : maillon de la guerre impérialiste (1re partie) [11]

_ Chine 1928-1949 : maillon de la guerre impérialiste (2ème partie) [12]

_ Chine, maillon de l'impérialisme mondial (3ème partie) [13]

Géographique: 

  • Chine [14]

Personnages: 

  • Mao Zedong [15]

Courants politiques: 

  • Maoïsme [16]

Rubrique: 

Campagnes idéologiques

Avec ou sans "deal": la démocratie capitaliste est une imposture

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De tous les bords de l’échiquier politique, nous sommes exhortés à protéger la démocratie. Les politiciens de “l’alliance rebelle” opposés au no-deal ont dénoncé le “coup d’État” de Boris Johnson contre le parlement, en organisant des meetings et des manifestations pour protester contre les cinq semaines de suspension du parlement (qui se termineront peu avant le 31 octobre), unissant ainsi leurs forces pour contraindre Boris Johnson à respecter les sacro-saintes procédures et traditions parlementaires.

Cependant, les partisans d’un Brexit dur (de Farage à la revue Spiked), (1) estiment de leur côté que ce sont les “Remoaners” (2) qui insultent la démocratie puisqu’ils refusent de respecter “la volonté du peuple”, matérialisée par le résultat du référendum de juin 2016. Ils s’autoproclament ainsi défenseurs de la démocratie britannique contre l’ingérence de la bureaucratie de l’Union européenne. Pourtant, nous vivons dans une société où les termes même de “démocratie” et de “peuple” sont vides de sens. Nous vivons dans une société capitaliste fondée sur l’exploitation d’une classe par une autre. La classe exploiteuse détient la majeure partie des richesses, et l’État, ainsi que la classe politique, sont là pour garantir ses privilèges, tout comme les instruments de domination idéologique que sont la presse, la télévision, et les réseaux sociaux. Dans une telle société, le terme “peuple” sert à dissimuler ces divisions de classe, et celui de “démocratie” à masquer le fait que la classe dominante détient le monopole du pouvoir.

D’autre part, la classe exploitée, bien qu’elle représente la majeure partie de la population, n’est pas en mesure d’exprimer ses véritables besoins. En effet, ses efforts pour lutter contre sa propre exploitation sont soit réprimés par la force, soit domptés pour être intégrés à l’État : c’est là tout le rôle des syndicats et des partis “ouvriers” (tels que le Parti travailliste) depuis un peu plus d’un siècle.

Bien sûr, contrairement aux débuts du capitalisme, les ouvriers ne sont pas seulement autorisés à voter lors de référendums ou d’élections locales et nationales, ils y sont désormais exhortés. Pourtant, ils ne peuvent voter qu’en tant que “citoyens” atomisés, en tant que masse d’individus isolés les uns des autres ; le fait même de voter lors d’élections bourgeoises est devenu une expression de l’impuissance et de l’absence de conscience de la classe ouvrière, qui ne se reconnaît plus en tant que classe. De plus, les thèmes autour desquels sont organisés les élections, les référendums et les débats parlementaires montrent clairement que nous sommes sous la coupe d’un monopole idéologique. Pour ou contre le Brexit ? Pour prendre part à ce débat, il faut partir du principe que les intérêts de la nation, donc ceux de la “Grande-Bretagne”, sont également les nôtres. Pourtant, les ouvriers n’ont pas de patrie et la nation, tout comme le peuple, n’est qu’une communauté illusoire qui cherche à occulter d’irréconciliables divisions de classe. Pis encore : aucune des options issues du conflit sur le Brexit ne protégera les travailleurs des attaques (toujours plus nombreuses) contre leurs conditions de vie, celles-ci étant la conséquence de la crise économique mondiale. Si le Brexit se concrétise, il ne fait aucun doute que les travailleurs migrants subiront de violentes attaques, qu’ils soient en situation régulière ou non, comme l’attestent les récentes dispositions invitant les ressortissants européens résidant en Grande-Bretagne à obtenir un statut de résident permanent avant le 31 octobre : presque une garantie de nouveaux scandales “Windrush”. (3) Mais l’Union européenne, qui est censée défendre les droits des travailleurs, a déjà fait preuve de sa capacité à infliger une politique d’austérité draconienne à la classe ouvrière : le cas de la Grèce en est l’exemple le plus flagrant. (4)

La religion de la démocratie

La démocratie et la nation sont à notre époque ce que la religion était du temps de Karl Marx, alors qu’il inventait cette expression “d’opium du peuple”. La démocratie et les intérêts nationaux sont “l’arôme spirituel” de la société bourgeoise, “sa sanction morale, son complément solennel, sa raison générale de consolation et de justification”. (5) En d’autres termes, il est impossible de débattre en dehors des principes de la démocratie et de la nation, qui sont présentées comme des vérités absolues dans cette société, légitimant ainsi tous les sacrifices exigés au travail comme en temps de guerre.

Mais cet “arôme” s’est à présent transformé en relent nauséabond car le parlement, tout comme la société capitaliste, est une institution profondément décadente. Au temps de Marx et Engels, lorsque le capitalisme était encore dans sa phase ascendante, il paraissait cohérent de voir des partis ouvriers évoluer au sein de parlements bourgeois, puisque ceux-ci étaient le théâtre de réels conflits entre les secteurs progressistes et réactionnaires de la classe dominante. Il était alors encore envisageable de se battre au nom de la classe ouvrière pour des réformes durables. Mais de telles opérations ont toujours comporté le risque de corruption des représentants des ouvriers, qui sont devenus les principaux vecteurs du “crétinisme parlementaire”, avec la croyance que le capitalisme pouvait être dépassé par un simple vote pour les partis ouvriers dans les élections bourgeoises.

Dans le capitalisme décadent, où toutes les factions de la classe dominante sont autant réactionnaires les unes que les autres, il ne peut y avoir d’amélioration durable des conditions de vie. De plus, la profonde impuissance des procédures parlementaires face à la croissance de l’État totalitaire est devenue incroyablement évidente, particulièrement avec cette pantomime qu’est le Brexit.

L’impasse parlementaire ainsi que la montée du populisme, avec ses fausses critiques de “l’élite”, en a convaincu certains qu’il serait préférable d’avoir une “démocratie illibérale” où régneraient des “hommes forts” capables de faire avancer les choses. Pourtant, il s’agit là d’une fausse alternative pour la classe ouvrière.

L’alternative prolétarienne

En effet, l’histoire de la classe ouvrière a montré qu’il existait une autre voie. La Commune de Paris, en 1871, était déjà allée par-delà les limites du parlementarisme : ainsi, “au lieu de décider une fois tous les trois ou six ans quel membre de la classe dirigeante devait “représenter” et fouler aux pieds le peuple au Parlement”,(6) la population ouvrière commença à s’organiser de son propre chef en assemblées de voisinage, dont les représentants étaient non seulement élus et mandatés, mais pouvaient être révoqués à tout moment. En Russie, les soviets ou conseils ouvriers qui émergèrent en 1905 et en 1917 poussèrent un peu plus loin ce concept puisque les assemblées ouvrières prenaient désormais place au sein même des usines et autres lieux de travail, dessinant de manière plus claire encore que ne l’avait fait la Commune le pouvoir prolétarien.

Pendant la vague mondiale de mouvements révolutionnaires entre 1917 et 1921, les conseils ouvriers surgirent en opposition directe aux institutions parlementaires (et syndicales) ; et la bourgeoisie le comprit très bien. Elle fit en effet tout son possible pour annexer les conseils (surtout en Allemagne où le sort de la révolution mondiale devait être décidé) afin de les transformer en un appendice impuissant du parlement et du gouvernement local, et pour écraser violemment toute tentative de restaurer leur réel pouvoir, comme ce fut le cas à Berlin en 1919.

La démocratie capitaliste a démontré qu’elle était l’ennemie jurée de la révolution prolétarienne et de l’émancipation des exploités. Le but de cette révolution est de créer une société dans laquelle les classes n’existeront plus. Alors, pour la première fois, il serait cohérent de parler de “peuple” ou, mieux encore, d’humanité unifiée. Une véritable communauté humaine n’aura nul besoin de ce que les Grecs appelaient kratos, ni d’aucune sorte d’État ou de pouvoir politique.

Amos, 7 septembre 2019


1 Spiked est un webmagazine sociétal et politique anglais. Lors de la campagne sur le Brexit, de nombreux militants de ce journal ont rejoint le Parti du Brexit de Nigel Farage et ont fait campagne à ses côtés. (Note du traducteur)

2 Terme péjoratif désignant les partisans du maintien dans l’UE (Remainers), il provient de la contraction des mots remain et moaner (râleur). (Note du traducteur)

3 Dans la période qui suivit la fin de la Seconde Guerre mondiale, le Grande-Bretagne, dévastée et en manque de main-d’œuvre, fit émigrer de nombreux caribéens sur son territoire. Ces derniers, jusqu’en 1971, devinrent automatiquement des citoyens britanniques, mais sans qu’aucun papier officiel ne leur soit délivré. En 2012, Theresa May, alors ministre de l’Intérieur, lance une chasse aux migrants illégaux. La génération “Windrush”, dépourvue de papier attestant de sa nationalité britannique, est alors menacée d’expulsion. Le scandale éclate en 2017 et oblige May à mettre en place un programme pour régulariser la situation de ces milliers de personnes. Cette année encore, les expulsions de la génération Windrush continuent. (Note du traducteur)

4 En effet, l’aile “gauche” du gouvernement, SYRIZA (qui se présentait comme un parti anti-austérité), a appliqué les privations et serrages de ceinture demandés par l’Union européenne.

5 Marx, Contribution à la critique de la philosophie du droit de Hegel (1843).

6 Marx, La Guerre civile en France (1871).

Géographique: 

  • Grande-Bretagne [17]

Personnages: 

  • Boris Johnson [18]

Récent et en cours: 

  • Brexit [19]

Rubrique: 

Brexit

Il y a cinquante ans… l’automne chaud italien

  • 88 lectures

Après un demi-siècle de contre-révolution qui permis notamment à la bourgeoisie de plonger une seconde fois l’humanité dans les atrocités de la Guerre mondiale, le prolétariat relevait enfin la tête face aux premières expressions d’une nouvelle crise économique ouverte. C’était Mai 68 en France et ces millions d’ouvriers en grève qui retrouvaient le chemin de la lutte de classe, non pas sous l’égide des syndicats ou du parti stalinien (le PCF), mais spontanément. Cette lutte ne s’arrêta cependant pas aux frontières de la France. Elle anticipa d’innombrables mouvements de lutte en Europe et ailleurs : l’Argentine ou l’Allemagne en 1969, la Pologne en 1970, l’Espagne et le Royaume-Unis en 1972. Cette vague trouva même un écho en Israël en 1969 et en Égypte en 1972.
Si la postérité ne retient que son “automne chaud”, l’Italie connue également une explosion de combativité de 1968 à 1969. Ces deux années ont indéniablement représenté un moment spectaculaire de la reprise de la lutte de classe au niveau international. Mais comme pour le “Mai français”, la bourgeoisie n’a de cesse d’escamoter les véritables leçons du “Mai rampant” en Italie, le réduisant bien souvent à un simple “mouvement étudiant”.
Pourtant, il est aujourd’hui indispensable au prolétariat de tirer le maximum de leçons de son expérience historique, des leçons sur lesquelles les futurs assauts du prolétariat pourront s’appuyer afin de déjouer les pièges tendus par la classe dominante qui, elle, comme le montre très bien “l’automne chaud”, apprend en permanence de ses erreurs. Par ce qu’il a représenté en termes de combativité, tout comme par ses faiblesses, le “Mai rampant” italien demeure une arme précieuse pour le prolétariat. C’est pourquoi nous republions ici une série d’article parus dans la Revue internationale à l’occasion des quarante ans de cette événement :

– L'automne chaud 1969 en Italie (1er partie), un moment de la reprise historique de la lutte de classe [20]

– L’automne chaud 1969 en Italie (2e partie) : un moment de la reprise historique de la lutte de classe [21]

Heritage de la Gauche Communiste: 

  • La lutte Proletarienne [22]

Rubrique: 

Histoire du mouvement ouvrier

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Liens
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