Ce mois-ci sur notre site en français : novembre 2019

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Articles publiés ce mois ci

Manifeste sur la crise écologique

Lectures complémentaires

Une critique plus développée des différentes théories écologistes radicales
– Critique du « communisme de décroissance » de Saito (Révolution internationale 501, 2024).

Nous répondons à l’affirmation de Saito selon laquelle les recherches de Marx sur les questions relatives à l’écologie et aux formes communautaires pré-capitalistes l’ont conduit à abandonner le matérialisme historique et à adopter ce que Saito appelle le « communisme de décroissance ».

L’impasse du militantisme dans les organisations de "défense de l'écologie"

Depuis des décennies, les mouvements écologistes attirent à eux de très nombreux "militants" alarmés par l’état de la planète et désireux d’agir contre la détérioration du milieu ambiant qui menace l’existence même de l’humanité. C’est ainsi que, de par le monde, il existe de nombreuses organisations ou partis politiques qui revendiquent un tel combat sans que leur action ait en quoi que ce soit permis de faire avancer la cause de l’écologie, alors même que la situation sur ce plan ne cesse de s’aggraver dangereusement.

Quelle force sociale peut faire la révolution ?

La seule solution à la spirale infernale de la destruction environnementale et militaire est de renverser le capitalisme et d’aller vers le communisme. Mais la bourgeoisie n’acceptera jamais la fin de son système, la fin de ses privilèges, la fin de son existence en tant que classe dominante et exploiteuse. Elle tentera de maintenir à tout prix son système obsolète. Seule une révolution mondiale peut mettre fin à cette agonie.

Ce que le communisme n’est pas

Quoi ? Le communisme ? L’URSS ? Cette monstruosité ? Le régime stalinien était en effet une abomination. Les travailleurs étaient exploités à outrance, toute opposition était férocement réprimée et la militarisation était à son comble. Quant à la nature, le productivisme « soviétique » était synonyme de destruction, de pollution et de pillage. Mais le communisme n’a rien à voir avec les régimes staliniens ! Hier en URSS et en Europe de l’Est, aujourd’hui en Chine, en Corée du Nord et à Cuba, il n’y a pas une once de communisme.

Le communisme est la seule solution à la crise écologique

Parce qu’il est une société sans classes et sans exploitation, sans nations et sans guerres, le communisme est la seule véritable solution à la crise écologique.

Le communisme est la fin de l’exploitation et du pillage

Le capitalisme, c’est l’exploitation.

Les mouvements citoyens peuvent-il changer le monde ?

L’ampleur du désastre écologique préoccupe une part croissante de la population mondiale, en particulier les jeunes. Face au désastre, toutes sortes d’actions citoyennes émergent.

Les ravages de la guerre

Depuis 1914, la guerre est devenue une donnée permanente sur tous les continents. Deux cents conflits, deux cents millions de morts, deux villes rasées par des bombes atomiques ! Napalm, armes chimiques et bactériologiques, bombes à fragmentation, drones tueurs… les dernières technologies au service de la barbarie.

Face à la crise écologique : Les Etats capitalistes peuvent-ils changer ?

En 1972, le Sommet de la Terre, première grande conférence internationale sur l’environnement, s’est tenue à Stockholm, en Suède. Sous l’égide des Nations Unies, les 113 États présents se sont engagés à lutter contre la pollution. Une déclaration de 26 principes, un plan d’action de 109 recommandations et la création du Programme des Nations Unies pour l’environnement (PNUE) ont été adoptés.

Est-il possible d’empêcher la destruction de la planète ?

L’état de la planète est catastrophique. Le climat se réchauffe plus vite que toutes les prévisions scientifiques, provoquant incendies, sécheresses, tempêtes, inondations… Les océans s’acidifient et, avec eux, les précipitations ; la végétation sous l’eau ou sur terre en subit les conséquences désastreuses. La déforestation mondiale bat des records chaque année et l’asphalte recouvre de plus en plus de terres.

Le capitalisme « vert » ne peut pas exister

«  Par un beau jour de la Saint-Jean, le soleil brillait dans tout son éclat. Cela se voyait quelquefois, même à Cokeville. Entrevue à une certaine distance, par un temps pareil, Cokeville se trouvait enveloppée d’un halo de brouillard enfumé qui lui était propre et qui semblait imperméable aux rayons du soleil. On devinait seulement que la ville était là, parce qu’on savait que la présence d’une ville pouvait seule expliquer la triste tâche qui gâtait le paysage.

Partie 3 : La Ligue socialiste et la lutte contre le sectarisme

Tout au long de l’histoire de la Fédération sociale-démocrate (Social Democratic Federation, SDF), une opposition s’est constamment formée contre les politiques et les pratiques de la clique dirigeante de Hyndman (voir la deuxième partie de cette série).

Les élections, un piège pour la classe ouvrière

Bayrou, Valls, Darmanin… Un nouveau gouvernement, pour un monde sans avenir!

« La France entre dans l’inconnu », titrait le journal britannique The Economist, au moment où le gouvernement Bayrou était nommé. On ne saurait mieux dire ! La bourgeoisie française se débat aujourd’hui dans une situation de plus en plus inextricable. Non contente de révéler, à des fins idéologiques, son abyssale dette et déficit budgétaire, elle se retrouve avec un nouveau gouvernement faiblard, que le Président Macron cherche déjà à entraver contre son mentor Bayrou, incapable d’impulser et d’imposer une direction claire à la politique de l’État.

Tract sur les luttes en Belgique

Ça suffit ! Face aux attaques, développons un mouvement massif, uni et solidaire

Les cartes sont sur la table : les gouvernements fédéral et régionaux veulent imposer des dizaines de milliards d’économies chacun dans le cadre de leurs compétences respectives afin de rendre l’économie belge plus compétitive et plus rentable. Tous les secteurs de la classe ouvrière seront fortement touchés par ce large programme d’austérité. La bourgeoisie n’a que trop bien compris que ses plans provoqueraient des réactions dans de larges parties de la classe. Des tactiques éprouvées sont à nouveau utilisées : isoler et diviser les différents secteurs alors que les mesures touchent tout le monde ! La force et la dynamique de la mobilisation du 13 janvier consistait justement à ne pas se faire isoler et à ne pas attendre passivement.

La solidarité et l’unité sont la force de notre lutte

Au-delà des frontières régionales et linguistiques, services publics et secteur privé, La solidarité et l’unité sont la force de notre lutte

Venez en discuter lors la réunion publique le samedi  1er mars à Bruxelles: rue du Fort 35, 1060 Saint-Gilles de 14h à 18h

Lutte de classe

Les racines historiques de la “rupture” dans la dynamique de la lutte des classes depuis 2022 (Partie I)

Première partie : La maturation souterraine de la conscience de classe

Lutte de classe en Belgique: Une nouvelle expression de la combativité internationale de la classe ouvrière!

Une fois de plus, « trop c’est trop » a été le mot d’ordre des journées d’action de Bruxelles des 13 décembre et 13 janvier contre les plans d’austérité sur la table des négociations du nouveau gouvernement fédéral en devenir en Belgique. Ces plans avaient été révélés par des « fuites » dans les médias ; aujourd’hui, ils ne sont plus un secret. Les syndicats parlent des « mesures les plus drastiques des 80 dernières années ».

Populisme et antipopulisme

Même mort, Le Pen continue de nourrir le piège de l’anti-fascisme

Jean-Marie Le Pen aura incontestablement connu un destin hors du commun. C’est à la fac de droit, juste après la guerre, que cet individu a fait ses débuts en politique dans des opérations coups de poing tabassant à la fois les forces de police et les étudiants « communistes ». Après ces épisodes peu reluisants de petite frappe, menant son bonhomme de chemin, il intègre l’Union et fraternité française de Poujade ; c’est sous cette étiquette qu’il devient, à 27 ans, le plus jeune député d’alors.

Défense de l'internationalisme

Dispute entre “Révolution permanente” et “Lutte ouvrière”: Deux variantes trotskistes d’un même nationalisme!

Une nouvelle polémique a vu le jour, il y a quelques mois, entre les deux groupes trotskistes, Révolution permanente (RP), issue du NPA, et Lutte ouvrière (LO), concernant la question palestinienne. Cette dispute centrée avant tout sur ce que chacune de ces organisations considère être la position internationaliste la plus claire face à la barbarie du conflit moyen-oriental, RP reprochant à LO de renvoyer dos à dos l’État d’Israël et le Hamas et de se refuser à « choisir un camp militaire ».

Crise environnementale

Des inondations en Allemagne aux flots destructeurs en Espagne: Catastrophes “naturelles” ou impasse d’un système capitaliste agonisant?

Dans un article précédent, 1 nous avons dénoncé les récentes inondations catastrophiques de Valence (en Espagne) et avons souligné l’incompétence crasse de la bourgeoisie à la fois pour prévenir et pour réagir efficacement face à une catastrophe qu’elle nous présente comme le résultat de « l’imprévisibilité de la nature » et de « l’impact d’une mauvaise gestion ».

Conflits impérialistes

Ukraine, Moyen-Orient… Le capitalisme pris dans l’engrenage de guerres sans fin

Les ravages de trois années de guerre en Ukraine, tout comme la barbarie sans nom des quinze mois du conflit israélo-palestinien, qui a contribué à embraser l’ensemble du Moyen-Orient, constituent une terrible illustration des guerres engendrées par la période de décomposition du capitalisme

Crise économique

Le capitalisme déchaîne les attaques contre les travailleurs!

Les institutions économiques les plus respectées de la bourgeoisie se targuent d’un bilan plutôt positif de l’état actuel de l’économie mondiale, qui « a fait preuve d’une remarquable résilience face à la pandémie, à la guerre en Ukraine et à une poussée d’inflation ». 1 Le FMI, la Banque mondiale et d’autres institutions prévoient pour 2025 un peu plus de croissance qu’en 2024, malgré leurs inquiétudes quant aux grandes incertitudes et aux risques considérables, dus notamment à l’augmentation des tensions géop

Éditorial

Face à la crise et au désordre capitaliste, le prolétariat doit développer son combat de classe!

Le 20 janvier, Donald Trump a officiellement pris ses fonctions présidentielles. Cette victoire représente un échec retentissant pour les factions les plus responsables de la bourgeoisie américaine qui avaient tenté d’empêcher le retour au pouvoir de ce triste sire durant tout le mandat de Joe Biden.


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