Nous signalons à nos lecteurs lusophones et de langue farsi la publication de nouveaux articles sur ces deux sites, qui sont également convertis au nouveau format. Si nous tenons à en informer nos lecteurs dans d'autres langues, c'est pour deux raisons:
D'abord, parce que nos sites en farsi et en portuguais ont peu évolué depuis leur création, et nos lecteurs n'ont peut-être pas l'habitude d'y revenir régulièrement. C'est normale, étant donné qu'il n'y a pas encore de sections du CCI dans les pays de langue portuguaise ou farsi. Dans l'avenir, nous éspérons pouvoir y publier plus fréquemment.
Deuxièment, parce que nous voulons remercier les camarades – des contacts plus ou moins proches de l’organisation – en Hollande, en France, au Portugal, et au Brésil qui, en nous aidant ou en entreprenant eux-mêmes des traductions, ont rendu les textes publiés accessibles en d'autres langues.
Nous voulons particulièrement souligner ce deuxième point. La traduction est une tâche difficile, lourde, et qui peut souvent sembler ingrate. Mais pour le prolétariat, seule classe véritablement internationale, le développement de sa conscience de lui-même comme classe révolutionnaire mondiale dépend de sa capacité de se comprendre et de débattre quelque soit la langue. Le travail obscur du traducteur est un élément indispensable dans le développement de la conscience prolétarienne.
Les camarades qui nous ont aidé dans ces traductions ne sont pas forcément tous d’accord avec toutes nos positions. Mais ils sont convaincus, comme nous, que la classe ouvrière est internationale ou n'est pas, et que la diffusion des positions et des analyses de la gauche communiste est quelque chose de fondamentale.
Enfin, les sites en portuguais et en farsi sont toujours en état de construction – nous espérons les faire évoluer dans les mois qui suivent.