Les graves faiblesses du PCI dans le mouvement contre la réforme des retraites (Partie 1)

Afficher une version adaptée à l'édition sur imprimante

Le mouvement de lutte contre la réforme des retraites en France, durant l’hiver 2019-2020, a été le dernier combat de classe significatif avant la crise brutale du Covid-19. Il est donc nécessaire d’en tirer les leçons. Les organisations du prolétariat issues de la Gauche communiste ont eu, au cours de cette lutte, des approches différentes et n’en ont pas tiré les mêmes enseignements. Les conditions de la lutte de classe, au regard de leur complexité, doivent selon nous être débattues et exposées pour conduire à la clarté au sein du milieu politique prolétarien. Nous proposons donc, dans cette optique militante, d’analyser de manière critique l’intervention du PCI (qui publie en France Le Prolétaire) lors de ce mouvement.


Contrairement aux organisations gauchistes et aux syndicats, défenseurs de l’État et chiens de garde du capitalisme, les organisations de la Gauche communiste ont véritablement combattu et dénoncé l’attaque inique contre le régime des retraites qui allait frapper de plein fouet le prolétariat. Leur objectif commun n’était pas limité à dénoncer uniquement la réforme, mais à combattre le capitalisme et ses défenseurs.

Une dénonciation du rôle des syndicats et des gauchistes

Dès le début du mouvement contre la réforme des retraites, Le Prolétaire a donc ainsi dénoncé le rôle politique des gauchistes et des syndicats, sa critique et son combat se portant sur le sabotage et des manœuvres dilatoires : “Lorsque la mobilisation est massive comme lors de la grève à la RATP, les syndicats brandissent la perspective d’une grève illimitée pour dans… 3 mois !” (1) Les camarades soulignent aussi le travail de sape de ces mêmes syndicats qui “ont saucissonné la mobilisation en multipliant les ‘journées d’action’ catégorie par catégorie”. (2) Lors du mouvement de grève spontanée au début à la SNCF, dans le technicentre de Châtillon, le PCI dénonçait les plus radicaux, comme le syndicat SUD-Rail : “Le syndicat SUD-Rail, réputé le plus combatif, qui avait reconnu avoir été surpris par la grève de Châtillon, s’est positionné en flèche dans la suite du mouvement – mais pour saboter l’extension de la lutte ! Il a agité la menace d’un appel à la grève illimitée sur ces centres dés jeudi soir ou lundi. Mais après avoir joué les fier-à-bras en posant une sorte d’ultimatum à la direction (On a donné à la direction jusqu’à 18 heures pour répondre à nos revendications), SUD a appelé à la reprise du travail : On joue le jeu (du dialogue social). En attendant, le travail reprend, les rames vont sortir. La direction a repris la balle au bond en programmant une réunion avec les syndicats, et SUD a cessé d’évoquer la possibilité d’une grève”. (3)

Juste après la manifestation du 17 décembre, Le Prolétaire mettait encore en évidence les manœuvres d’enfermement des syndicats qui laissaient pourrir la situation face au besoin d’unité et d’élargissement du mouvement : “l’intersyndicale réunie le soir même décida de… ne rien décider. Les travailleurs furent priés de se rabattre sur des initiatives locales – qui, inévitablement ont été peu suivies ; au moment où les prolétaires ont un besoin pressant de centraliser et d’unifier leur combat”. (4) Il n’a pas non plus échappé aux révolutionnaires, comme à la plupart des ouvriers d’ailleurs, que “l’annonce spectaculaire par le premier ministre du retrait (“provisoire” !) de l’âge pivot n’est qu’une manœuvre pour arrêter la lutte avec le concours de la CFDT de l’UNSA et de la CFTC, le gouvernement se réservant le droit de le réintroduire par ordonnance”. (5)

Parmi d’autres passages qui résument le mieux les conclusions du PCI sur la politique syndicale, on peut citer les formules qui rappellent que les “appareils syndicaux sont des défenseurs de l’ordre établi” et qu’ils sont “complètement intégrés dans le réseau bourgeois de maintien de l’ordre social”. (6)

Les contradictions du PCI sur la nature des syndicats

En dépit de ces caractérisations justes, de formules soulignant que les syndicats sont bien les “défenseurs de l’ordre établi”, on trouve malheureusement en parallèle un ensemble de propos contradictoires et totalement opposés à cette idée. La portée de l’intervention politique du PCI se trouve en effet pétrie de contradictions qui révèlent une démarche clairement opportuniste. (7) Ainsi, selon le PCI, l’ensemble du mouvement contre la réforme des retraites n’a été finalement qu’un “échec” qui proviendrait exclusivement de “l’orientation de la lutte décidée par l’intersyndicale”. (8) Il y a une part de vérité indéniable dans le fait que l’intersyndicale a apporté sa forte contribution pour saboter la lutte. Mais cette façon de poser le problème, selon nous, vient grandement affaiblir la dénonciation des syndicats. En ne voyant que l’action exclusive et quasi unilatérale d’une “décision” de “l’intersyndicale” alors que, de par leur fonction, les syndicats dans toute leur globalité ne pouvaient faire autre chose que de saboter et entraver la lutte de classe, le PCI ne peut aller plus loin que de s’enliser dans la contradiction en voyant simplement le jeu d’un “compromis” de la part des “directions” liées à une simple “collaboration” avec l’État. Pour le PCI, les syndicats, qu’il qualifie d’un côté de “défenseur de l’ordre établi”, sont en même temps jugés de manière contradictoire “collaborationnistes”. Par exemple, il est dit que : “La politique défaitiste des appareils syndicaux dans les luttes ouvrières est la conséquence inévitable de leur pratique de collaboration de classe”. (9) Cela signifie que le PCI défend une position, encore une fois, totalement contradictoire sur la nature de classe de ces organes qui devraient, finalement, si on suit sa logique jusqu’au bout, “cesser de collaborer” ou “cesser d’être défaitistes”. Mais pourquoi le leur demander s’ils sont “défenseurs de l’ordre établi” ? Autant demander directement à un loup affamé de protéger des agneaux !

Du fait de sa démarche opportuniste, le PCI ne peut voir ses contradictions, ses incohérences et comprendre que ces organes sont en réalité des ennemis de classe, qu’ils sont eux-mêmes devenus des organes bourgeois, totalement intégrés à l’appareil d’État et parfaitement institutionnalisés dans le droit du travail. En polarisant ainsi exclusivement sur les “directions syndicales”, bien qu’elles aient effectivement joué le rôle anti-ouvrier le plus visible, le PCI estime possible de voir émerger en “opposition” une sorte de réaction “à la base”, avec également la possibilité, finalement, d’une sorte de “syndicalisme rouge”. (10) Tout cela le conduit, certes de façon critique, à soutenir in fine l’activité syndicale la plus radicale, “à la base”, sans percevoir la logique politique qui recouvre toutes les formes du syndicalisme devenues réactionnaires. Cet aveuglement occulte le rôle essentiel du syndicalisme et sa nature bourgeoise depuis la Première Guerre mondiale, de même que ses acteurs de premier plan, notamment les gauchistes, qui au plus près du terrain ne cessent de magouiller et d’étouffer, de stériliser et enfermer d’emblée toute expression ou étincelle de vie prolétarienne. C’est notamment le cas de LO, que le PCI juge “centriste” et non pas bourgeois, dont l’entrisme pousse bon nombre de militants à être très actifs au sein même de la CGT.

Le PCI se retrouve malheureusement de facto à la remorque des gauchistes quand il proclame avec les loups que : “L’apparition de comités de grève, d’AG interpro et de coordinations pendant le mouvement actuel constitue un premier pas pour que les travailleurs prennent leur lutte en main et surmontent leurs divisions”. (11) Pour le CCI au contraire, très loin d’être “un premier pas” positif, les “AG-interpro” du mouvement contre la réforme des retraites n’avaient rien de spontané. Ce n’étaient que des coquilles vides, artificiellement proclamées, suscitées et verrouillées par les syndicats. Les comités de grève étaient en effet dès le départ aux mains de syndicalistes ou de gauchistes professionnels particulièrement expérimentés dans l’action du sabotage de la lutte. On peut aussi évoquer les simulacres d’extensions (avec l’envoi de délégations gauchistes ou syndicales par-ci et par là, acquises à la même logique que les grandes centrales syndicales dont elles faisaient en réalité la promotion). Cela, il était de la responsabilité d’une organisation ouvrière de le dénoncer.

La démarche la plus juste n’était donc pas de suivre les expressions radicales du syndicalisme, mais de mettre en exergue les conditions de la lutte de classe, de montrer, comme a cherché à le faire le CCI, la réalité d’une réflexion souterraine s’exprimant par un besoin de solidarité, que justement les syndicats et toute la bourgeoisie cherchaient à dénaturer. Il était nécessaire de replacer la lutte dans son contexte d’émergence d’une reprise de la combativité et répondre politiquement au besoin de réflexion au sein de la classe.

Que devons nous conclure de la démarche du PCI ? Comme nous le disons depuis déjà longtemps : “ce que le PCI met en évidence, c’est son manque de clarté et de fermeté sur la nature du syndicalisme. Ce n’est pas ce dernier qu’il dénonce comme arme de la classe bourgeoise, mais tout simplement les appareils syndicaux. Ce faisant, il ne réussit pas, malgré ses dires, à se démarquer et à se distinguer de la vision trotskiste : on peut maintenant trouver dans la presse d’un groupe comme Lutte Ouvrière le même type d’affirmations. Ce que Le Prolétaire, se croyant fidèle à la tradition de la Gauche communiste italienne, refuse d’admettre, c’est que toute forme syndicale, qu’elle soit petite ou grande, légale et bien introduite dans les hautes sphères de l’État capitaliste ou bien illégale (c’était le cas de Solidarnosc pendant plusieurs années en Pologne, des Commissions Ouvrières en Espagne sous le régime franquiste) ne peut être autre chose qu’un organe de défense du capitalisme […] C’est justement la leçon que le bordiguisme n’a jamais voulu tirer après des décennies de”trahison” de tous les syndicats, quelle que soit leur forme, leurs objectifs initiaux, les positions politiques de leurs fondateurs, qu’ils se disent réformistes” ou bien de lutte de classe”, voire révolutionnaires””. (12)

Quelles leçons face aux syndicats et au syndicalisme ?

Les contradictions du PCI ne sont pas nouvelles et l’empêchent encore aujourd’hui de tirer les véritables leçons des luttes. Alors que tout un combat a été mené par la classe ouvrière contre l’encadrement syndical, notamment au cours des trois grandes vagues de luttes dans les années 1980 et contre ses expressions ou sous-marins radicaux que furent les coordinations, constituant des expériences politiques riches et très importantes comme pièges sophistiqués de la bourgeoisie, le PCI n’a vu que de simples tentatives de nature ouvrières, alors que les coordinations et les syndicats menaient de concert un sabotage en règle contre la lutte. Face au discrédit croissant des syndicats à la fin des années 1980, les coordinations exprimaient, comme celles qui ressurgissent aujourd’hui sous une même appellation, une adaptation des forces bourgeoises d’encadrement contre la lutte ouvrière. Les camarades du PCI voyaient naïvement à l’époque ces structures comme une simple tentative “d’organisation indépendante” des ouvriers. Dans une ancienne polémique (13) avec le CCI sur le sujet, les camarades affirmaient ainsi à propos des coordinations que “la conclusion n’est pas qu’il faut tourner le dos à ces organisations, mais que l’action en leur sein des révolutionnaires est indispensable pour qu’elles ne manquent pas leur but, pour qu’elles servent de levier à la lutte d’émancipation, de courroie de transmission du parti de classe”. Or, loin d’avoir été “un levier à la lutte”, toutes les coordinations (comme à l’époque également les “Cobas” en Italie) n’ont été en réalité que des instruments radicaux aux mains de la réaction pour saboter les expressions ouvrières en les étouffant dans la logique syndicale de l’enfermement et du corporatisme. Le CCI a toujours été dans le sens de le mettre en évidence et de les dénoncer pour permettre que puisse se développer une lutte consciente et une prise en main réelle du combat par les ouvriers à l’époque. La cécité du PCI sur le problème a pour racine son approche de la question syndicale, avec l’illusion que les syndicats, autant que tout autre type de structures “intermédiaires” et “permanentes” pourraient être “indépendantes”, pourraient échapper à la logique de l’intégration et de l’institutionnalisation propres au capitalisme d’État dans la phase de décadence du capitalisme. Le PCI se retrouve de ce fait en deçà de certaines avancées de la Troisième internationale (IC), puisqu’il nie la réalité de la décadence du capitalisme alors que dans son Premier congrès, l’IC, même si de manière encore insuffisamment fondée, intégrait en substance cette notion politique : “une nouvelle époque est née. Époque de désagrégation du capitalisme, de son effondrement intérieur. Époque de la Révolution communiste du prolétariat”. (14) Le fait pour l’IC que les “contradictions du système mondial” se soient exprimées en “une formidable explosion” soulignait que le capitalisme était désormais entré dans “l’ère des guerres et des révolutions”. Cela se retrouvait dans l’idée que “l’État national, après avoir donné une impulsion vigoureuse au développement capitaliste, est devenu trop étroit pour l’expansion des forces productives”. (15) Pour les camarades du PCI, qui ignorent cette phase de déclin capitaliste, aucune implication ne pouvait donc logiquement être déduite puisque pour eux le capitalisme ne perdure qu’au rythme de simples “crises cycliques”. De ce fait, il est impossible pour le PCI de comprendre que malgré le fait que la question syndicale n’était par encore réellement tranchée, l’IC ne pouvant être en mesure de tirer toutes les implications de la décadence, ses expressions les plus claires liées à l’expérience de la Gauche allemande pouvaient souligner déjà que les syndicats étaient devenus des organes périmés et contre la classe ouvrière. Bien que la question était en débat, elle était un acquis pour les révolutionnaires les plus conscients. Malgré tout un effort de clarification qui perdurera après la guerre, repris par Bilan et la Gauche communiste en France, puis par le CCI, ces leçons ne seront pas prises en compte par le PCI qui, finalement, sur cette question comme pour bien d’autres, se retrouvera embourbé dans les ornières de l’opportunisme, à l’image de l’IC par la suite, notamment lors de son IVe congrès, dont le PCI se revendique également, et qui marquait à l’époque une très forte régression politique, comme on peut le constater dans ces lignes que ne saurait renier le PCI “les communistes doivent, à l’intérieur des syndicats de toutes tendances, s’efforcer de coordonner leur action dans la lutte pratique contre le réformisme…” (16) Tout cela, en lien avec l’optique d’une Internationale Syndicale Rouge. Le PCI restera de manière acritique prisonnier de cette logique régressive de l’IC. Pour le PCI : “Le parti […] affirme la nécessité qu’existe entre lui et la classe des organisations de lutte immédiate comprenant en leur sein un réseau émanant du parti, non seulement dans la période révolutionnaire mais dans toutes les phases qui voient un accroissement de son influence sur la classe”. (17) De même, le PCI pense que “dans les périodes défavorables le parti a la tâche de prévoir et d’encourager la formation de ces organisations de lutte immédiate, qui pourront à l’avenir revêtir les formes les plus variées et les plus nouvelles”. Pour le CCI, à l’inverse, voir la nécessité et la possibilité d’un combat dans les syndicats empêche le prolétariat de développer son combat et de pouvoir mesurer les pas en avant que ce dernier, malgré un recul de ses luttes suite à l’effondrement du bloc de l’est, à pu effectuer depuis mai 1968 (et même depuis la vague révolutionnaire les années 1920) et tout dernièrement. Bien sûr, les camarades du PCI rappellent la nécessité de défendre un ensemble de principes, des méthodes de luttes propres à la classe, dont celle liée à défendre “l’autonomie de classe du prolétariat”. Mais c’est justement à ce niveau que les failles du PCI et ses inconséquences sur la question syndicale sont les plus préjudiciables et finissent en fin de compte par entretenir de très graves confusions dans la mesure où le clivage entre syndicats et classe n’est pas clairement établi. De même, si les méthodes de lutte invoquées peuvent en soi être validées à première vue, le PCI ne perçoit pas la réalité concrète de l’action des gauchistes et des syndicalistes “radicaux” et finit par tout mettre sur le même plan sans pouvoir clairement s’en démarquer de manière tranchante. Il ne peut pas voir par exemple que la question de poser les conditions politiques pour faire émerger dans le futur de véritables AG souveraines est central et déterminant pour une véritable prise en main de la lutte, qu’il s’agit d’un élément fondamental pour des décisions permettant l’extension mais aussi la prise de conscience dans un mouvement qui doit s’opérer face aux ennemis que sont les syndicats. Une démarche aux antipodes des pratiques des AG-interpro de cet hiver où FO, la CGT et consorts, les gauchistes de tous poils nageaient comme des poissons dans l’eau du fait d’une absence de vie politique dans ces assemblées. Pour le CCI, il est nécessaire d’en tirer les leçons et de voir comment procède la réalité de la lutte de classe, en particulier sur le plan de sa conscience et de son autonomie dans la lutte.

Dans un prochain article, nous reviendrons sur la question de la lutte de classe et sur la façon justement de défendre “l’autonomie de classe”, ce que cela peut signifier pour tenter d’aller davantage aux racines de nos divergences sur le sujet.

WH, 20 octobre 2020

 

1Le Prolétaire n° 534 (septembre – octobre 2019).

2Tract du PCI (30 novembre 2019).

3Le Prolétaire, n° 535, (décembre 2019 – janvier 2020).

4Idem.

5Tract du PCI (14 janvier 2020).

6Le Prolétaire, n° 535, (décembre 2019 – janvier 2020).

7L’opportunisme est une sorte de “maladie” qui existe dans le camp prolétarien révolutionnaire et qui peut s’avérer mortelle. En tant que manifestation de la pénétration de l’idéologie bourgeoise dans les organisations prolétariennes, l’opportunisme s’exprime notamment par :

un rejet ou une occultation des principes révolutionnaires et du cadre général des analyses marxistes ;

un manque de fermeté dans la défense de ces principes ;

du centrisme en tant que forme particulière de l’opportunisme caractérisée par :

. une phobie à l’égard des positions franches, tranchantes, intransigeantes, allant jusqu’au bout de leurs implications ;

. l’adoption systématique de positions médianes entre les positions antagoniques ;

. un goût de la conciliation entre ces positions ;

. la recherche d’un rôle d’arbitre entre celles-ci ;

. la recherche de l’unité de l’organisation à tout prix y compris celui de la confusion, des concessions sur les principes, du manque de ri­gueur, de cohérence et de continuité dans les analyses”. (“L’opportunisme et le centrisme dans la période de décadence”, Revue internationale n° 44 – 1er trimestre 1986).

8Le Prolétaire, n° 536 (février – mars – avril 2020).

9Tract du PCI (5 janvier 2020).

10Selon la conception du PCI, il s’agit de syndicats “communistes”, “révolutionnaires”, perçus comme des “courroies de transmission” du Parti.

11Le Prolétaire n° 536 (février – mars – avril 2020).

12Voir “L’opportunisme du PCI sur la question syndicale conduit à sous-estimer l’ennemi de classe”, Revue internationale n° 86 (1996).

13Le Prolétaire n° 401 (mai – juin 1989).

14Plate-forme de l’IC (Premier congrès)

15Manifeste de l’IC aux prolétaires du monde entier (Premier congrès)

16Thèses sur l’action communiste dans le mouvement syndical au point 19 (quatrième congrès).

17Cf. “Ce qui nous distingue” (pcint.org)

Courants politiques: 

Questions théoriques: 

Rubrique: 

Polémique