Ecologie

Marxisme et écologie: Critique du “communisme de décroissance” de Saito

Au cours des dernières décennies, il est devenu évident que le capitalisme fait peser une grave menace sur les conditions naturelles qui constituent la base de l’existence humaine. Les principales fractions de la classe dominante sont désormais contraintes de reconnaître la gravité de la crise environnementale, et même son lien avec les autres expressions d’une société capitaliste en déclin, surtout la fuite en avant dans le militarisme et la guerre(1).

Le futur de la planète ne peut pas être laissé entre les mains de la classe capitaliste

La civilisation capitaliste, ce système mondial basé sur le travail salarié et la production pour le profit, est en train d’agoniser. Tout comme la société esclavagiste de la Rome antique ou le servage féodal, elle est condamnée à disparaître. Mais contrairement aux systèmes qui l’ont précédé, elle menace d’entraîner dans sa chute l’humanité tout entière.

Pas de solution à la catastrophe écologique sans l’émancipation du travail de l’exploitation capitaliste

Le consensus général parmi les scientifiques sérieux est que nous sommes déjà entrés dans une période de catastrophes écologiques sans précédent. Nous ne pouvons ici énumérer les différents aspects de ce désastre auxquels se confronte l’humanité, depuis la pollution des mers, de l’air et des rivières jusqu’à l’imminente extinction d’innombrables variétés de plantes et d’espèces animales, en passant par les menaces que fait peser l’accélération du réchauffement climatique.

Face à la destruction de l’environnement: l’idéologie “verte” au service du capitalisme!

Multiplication des catastrophes climatiques, zones contaminées, destruction des forêts, coulées de boue rouge, pollution de l’atmosphère, disparition massive des espèces… Chaque jour, les catastrophes environnementales font les gros titres de l’actualité. Chacun de ces articles se conclut invariablement par un appel à la “détermination” des gouvernements pour sauver la planète ou à la responsabilité individuelle des “citoyens du monde” qui devraient correctement utiliser leur bulletin de vote. En bref : sauvez la planète avec l’État bourgeois !

Tract international du CCI : le capitalisme menace la planète et la survie de l'humanité: seule la lutte mondiale du prolétariat peut mettre fin à cette menace.

Depuis plusieurs mois, se sont succédé des manifestations de jeunes dans 270 villes du monde pour protester contre la détérioration du climat et la destruction de l'environnement.

Sommet de Copenhague: pour sauver la planète, il faut détruire le capitalisme!

“À Copenhague, la douche froide”, “Le pire accord de l’histoire”, “Copenhague s’achève sur un échec”, “Déception à Copenhague” …, la presse est unanime, ce sommet annoncé comme “historique” a été un véritable fiasco !

La “Transition écologique”, un alibi pour attaquer les ouvriers en continuant de détruire la planète

La mesure phare de la “transition écologique” du gouvernement Macron, qui prévoyait l’augmentation des taxes sur le diesel, prétendument pour lutter contre la pollution aux particules fines, a déclenché un vent de colère dans toute la population. Avec cette énième attaque, la population a vu “jaune” et a exprimé son ras-le-bol de la précarité et de la pauvreté croissante en bloquant les ronds-points et les péages. Face à cela, quelle fut la première réponse de Macron ?

Scandale sanitaire à Flint (Michigan): le capitalisme est un poison

L’eau est vitale à la vie, à l’humanité. Les deux-tiers de la planète sont recouverts par l’eau. Et pourtant… l’eau potable devient une denrée rare, précieuse, y compris dans les zones urbaines les plus développées. Vivre ou survivre en buvant un simple verre d’eau n’est plus chose aisée ! Et là, point de sécheresse ou désertification climatique comme dans beaucoup de zones arides africaines ou australiennes. Non, seules les pollutions industrielles ou agricoles sont en cause.

COP21: seule une révolution mondiale peut empêcher le capitalisme de détruire la planète

Les changements climatiques représentent une menace immédiate et potentiellement irréversible pour les sociétés humaines et la planète (…). Ils nécessitent donc la coopération la plus large possible de tous les pays ainsi que leur participation dans le cadre d’une riposte internationale efficace et appropriée, en vue d’accélérer la réduction des émissions mondiales de gaz à effet de serre (…)” . L’accord “historique” trouvé “à la dernière minute ne mâche pas ses mots : la planète est en danger, l’heure de la réaction internationale a sonné ! Et le Premier ministre anglais d’affirmer : “Cet accord sur le changement climatique est significatif. Nos petits-enfants sauront que nous avons fait notre devoir pour garantir l’avenir de notre planète”. Évidemment, la réalité est toute autre…

Energie nucléaire, capitalisme et communisme: l'homme et la nature (I)

L’ampleur de la catastrophe en cours à Fukushima révèle une fois de plus l’exploitation prédatrice de la nature par le capitalisme. L’espèce humaine a toujours été amenée pour vivre à transformer la nature. Mais le Capital pose aujourd’hui un nouveau problème: ce système ne produit pas pour satisfaire les besoins de l’humanité mais pour le profit. Il est prêt à tout pour cela. Laissé à sa seule logique, ce système finira donc par détruire la planète.

Energie nucléaire, capitalisme et communisme (1re partie) : l’homme et la nature

L’ampleur de la catastrophe en cours à Fukushima révèle une fois de plus l’exploitation prédatrice de la nature par le capitalisme. L’espèce humaine a toujours été amenée pour vivre à transformer la nature. Mais le Capital pose aujourd’hui un nouveau problème : ce système ne produit pas pour satisfaire les besoins de l’humanité mais pour le profit. Il est prêt à tout pour cela. Laissé à sa seule logique, ce système finira donc par détruire la planète.

Capitalisme et écologie : de l'eau dans le gaz !

A l’heure où les spécialistes de l’environnement tirent la sonnette d’alarme, où les océans, pollués par toute sorte de produits chimiques, sont de plus en plus saturés de déchets plastiques, où boire l’eau du robinet prend une allure de roulette russe, la classe capitaliste et ses spécialistes à la solde des compagnies gazières nous annoncent fièrement qu’ils vont développer une nouvelle méthode de production gazière très rentable : l’extraction du gaz de schiste.

Russie, Pakistan, Chine, etc. : Catastrophes naturelles ou nature catastrophique du capitalisme  ?

Cet été, de violentes catastrophes se sont abattues sur les populations partout dans le monde  : les flammes ont embrasé la Russie et le Portugal, des moussons dévastatrices ont noyé le Pakistan, l’Inde, le Népal et la Chine () sous la boue, des inondations ont également frappé l’Europe de l’Est et une partie de l’Allemagne. La liste des catastrophes de l’été 2010 est encore longue.
La multiplication des ces phénomènes et leur gravité croissante n’est pas le fruit du hasard, ni une triste fatalité contre laquelle on ne peut rien et dont personne n’est blâmable. De l’origine à la gestion des catastrophes, le capitalisme et ses lois fondamentales portent une très lourde responsabilité.

Le monde à la veille d'une catastrophe environnementale (II) - Qui est responsable ?

Nous poursuivons cette série avec ce deuxième article dans lequel nous chercherons à démontrer comment les problèmes d’environnement ne sont pas du ressort de quelques individus ni de quelques entreprises en particulier mais que c’est le capitalisme qui en est le vrai responsable avec sa logique du profit maximum.

Réchauffement climatique : le capitalisme tue

La dégradation sévère de l’environnement, ainsi que les dérèglements climatiques qui en découlent (inondations, tempêtes, cyclones…) affectent directement au moins 325 millions de personnes par an, soit un vingtième de la population mondiale, et tout particulièrement celles qui vivent dans les pays les plus pauvres.

Mexique : Le capitalisme est le vrai coupable de la "crise de l’eau" !

La question de l'eau est un des aspects qui met en évidence le danger auquel le capitalisme expose l'humanité, à tel point que l'ONU elle-même reconnaît que plus d'un million d'êtres humains ne peuvent jouir d'approvisionnement en eau potable. Rien qu'au Mexique, les chiffres

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