Défense de l'organisation

"Fraction interne" du CCI : Tentative d'escroquerie vis-à-vis de la Gauche Communiste

Quelles sont les responsabilités de la fraction elle-même face à l'organisation ? Quelles sont ses tâches, comment mène-t-elle la lutte pour défendre ses positions et notamment, quel est son devoir au niveau du respect des règles de fonctionnement et de la discipline organisationnelle ?

Nouvelles d’Argentine - Le NCI n'a pas rompu avec le CCI !

Récemment, le CCI a envoyé une délégation en Argentine. Celle-ci a été accueillie très chaleureusement par les membres du NCI lesquels nous ont affirmé qu'ils n'avaient qu'une seule crainte : que le CCI change d'avis et les abandonne en renonçant à ce voyage !

Au cours de notre séjour, les camarades du NCI ont pris la décision d'envoyer par courrier postal leur Déclaration du 27 octobre (publiée ci-dessous) à toutes les sections du BIPR et aux autres groupes de la Gauche communiste afin de rétablir la vérité : contrairement aux fausses informations colportées par le BIPR (notamment dans sa presse en italien), le NCI n'a pas rompu avec le CCI !

A propos de la Ficci - Prise de position de militants en Argentine

Nous publions ci-dessous des extraits d’une prise de position adoptée par le Nucleo Comunista Internacionalista, un petit groupe de militants d’Argentine qui se sont approchés récemment des positions de la Gauche communiste et dont la presse du CCI a déjà publié plusieurs textes, notamment sur les mouvements sociaux en Amérique latine. Cette prise de position concerne les agissements de la prétendue "Fraction interne du CCI", un groupuscule parasitaire formé d’anciens membres du CCI exclus de notre organisation pour leurs comportements de mouchards (et nullement, comme ils l’affirment, pour des désaccords politiques que nous aurions voulu faire taire).

Quelques remarques à propos de la publication de ces extraits du document du NCI :
Si nous n’en publions que des extraits dans notre journal, ce n’est nullement que les autres parties soient sans intérêt, mais pour ne pas déséquilibrer notre publication au détriment d’autres questions de la situation mondiale sur lesquelles nous devons nous pencher de façon impérieuse. Cela dit, la totalité du document du NCI sera publiée sur le site Internet du CCI.
C’est d’ailleurs à cause du même souci d’équilibre que nous n’avons pas jusqu’à présent publié vers l’extérieur ce document qui a été adopté le 22 mai 2004 : en effet, les comportements de la FICCI étaient épinglés dans l’article de notre journal publié au même moment et rendant compte du 16e congrès de notre section en France ("Le renforcement de l’unité et de la solidarité au sein de l’organisation", RI n°347), de même que dans le numéro suivant de RI ("Intervention de la FICCI à la fête de ‘Lutte ouvrière’, Le parasitisme au service de la bourgeoisie").
Si aujourd’hui nous estimons nécessaire de publier la prise de position du NCI, c’est notamment du fait des derniers épisodes de l’offensive que la FICCI a engagée non seulement contre notre organisation mais contre l’ensemble de la Gauche communiste.
En effet, dans le numéro 27 de son Bulletin publié sur Internet (et envoyé aux abonnés de Révolution Internationale dont le fichier des adresses a été volé au CCI par un membre de la prétendue "fraction"), la FICCI publie un document, intitulé "Compte rendu d’une réunion entre le BIPR et la fraction", dans lequel on peut lire, entre autres, que :
"Cette réunion est une concrétisation supplémentaire et significative des liens que cherche à développer notre fraction avec le BIPR, et plus largement avec les organisations et éléments du camp prolétarien." (…)
"Dans une dernière partie, cette réunion a permis de jeter les bases d’un travail commun dans lequel le débat doit prendre une place de première importance.
"
En réalité, le développement du milieu prolétarien et des débats en son sein est bien le dernier des soucis de la FICCI. Ce qui anime fondamentalement ce groupuscule (et qu’on peut facilement constater mois après mois dans ses bulletins) c’est de nuire le plus possible au CCI (faute d’avoir pu le détruire comme ses éléments ont essayé de le faire au temps où ils étaient encore dans ses rangs). Pour ce faire, ses membres ont besoin de se faire délivrer un certificat de respectabilité par les autres groupes de la Gauche communiste, ce qui s’avère bien nécessaire quand on connaît leurs comportements de voyous et de mouchards. A cette fin, la FICCI ne recule devant aucun moyen afin de s’attirer les bonnes grâces de ces groupes et particulièrement du BIPR :
"Un constat politique s’impose, selon notre fraction : il n’y a plus aujourd’hui qu’un seul pôle de regroupement parmi les groupes se revendiquant de la gauche (…) La seule organisation ayant la capacité de jouer ce rôle de pôle de référence et de regroupement, armée d’une expérience concrète sur laquelle s’appuyer, c’est le BIPR. (…) Même avec des forces peu nombreuses, le BIPR n’en est pas moins la seule organisation qui soit capable de défendre dans la classe, de façon pratique à travers l’intervention dans la lutte, les positions communistes, internationalistes contre la propagande bourgeoise et qui soit en même temps capable de servir de pôle de regroupement. (…)
C’est aussi sur le plan de la capacité d’impulser le débat de pousser à une réelle clarification politique au sein de ce qu’on appelle le camp prolétarien, le milieu internationaliste et vis-à-vis de ceux qui ont le souci de s’inclure dans une dynamique de construction du parti, que cette organisation est active.
"
Pour ne pas lasser le lecteur, nous ne reportons qu’une partie des tonnes de pommade que la FICCI étale sur la peau du BIPR.
Le fait est que ce dernier ne semble pas connaître cette fable de La Fontaine où le Renard flatte le Corbeau pour lui faire lâcher son fromage. C’est pour cela que le BIPR cède à la FICCI son… fromage, le certificat de bonne conduite qu’elle attend, sans être capable de comprendre le jeu véritable de ce groupuscule.
C’est justement le piège dans lequel ne sont pas tombés les camarades du NCI. Comme ils le disent, c’est après avoir examiné avec attention les documents publiés tant par la FICCI que par le CCI (et non pour avoir crû sur parole ce dernier), qu’ils se sont fait l’opinion exprimée ci-dessous.

XVIe congrès de Révolution Internationale - Le renforcement de l'unité et de la solidarité au sein de l'organisation

Au mois d'avril s'est tenu le 16è congrès de la section du CCI en France. Ce congrès a constitué une étape très importante dans la vie de notre organisation. En effet, il y a deux ans, le 15è congrès de RI avait été transformé en Conférence extraordinaire du CCI du fait que notre organisation avait traversé la crise la plus dangereuse de son histoire avec la constitution en son sein d'un groupuscule parasitaire dénommé "Fraction interne du CCI" et qui s'était formée sur la base de réunions secrètes fomentées à l'insu de l'organisation et visant à détruire les principes de fonctionnement unitaires et centralisés du CCI.

Les réunions publiques du CCI interdites aux mouchards

Le CCI a pris la décision d'interdire la présence à ses réunions publiques et à ses permanences des membres de la prétendue "Fraction interne" du CCI (FICCI) . C'est la première fois que notre organisation prend une décision de ce type et il est nécessaire qu'elle en fasse connaître publiquement les raisons face aux éléments et groupes du milieu politique prolétarien de même que devant l'ensemble de la classe ouvrière.

Défense de l'organisation : les méthodes policières de la "FICCI"

Le regroupement parasitaire autoproclamé "Fraction interne du CCI" et qui s'est constitué autour de l'individu Jonas, exclu du CCI pour ses comportements indignes d'un militant communiste (voir notre communiqué dans RI n° 321) dévoile aujourd'hui ouvertement sa vraie nature.

Défense de l'organisation - "Fraction interne" du CCI : un groupe parasitaire qui sert admirablement la bourgeoisie

Nous avons déjà traité dans notre presse de la soi-disant "Fraction interne du CCI" (FICCI). Il s'agit d'un groupe parasitaire qui s'est constitué au sein de notre organisation avec comme vocation, sous couvert de grandes phrases sur sa volonté de "redresser et de sauver le CCI", de saboter son travail et de tenter de le détruire.

Congrès de La Haye en 1872 - Le premier combat du marxisme contre le parasitisme

Il y a cent trente ans, en septembre 1872, se tenait à La Hayes le cinquième Congrès de l'AIT, l'Association Internationale des Travailleurs (Première Internationale). Il s'agit certainement de l'un des épisodes de l'histoire de la classe ouvrière parmi les plus calomniés. Connu pour la décision qu'il prit d'exclure de l'AIT Bakounine, James Guillaume et la Fédération Jurassienne, ce Congrès est pour les uns, sans intérêt, s'étant occupé exclusivement de "dissensions internes". Pour d'autres (tels les anarchistes, mais aussi les historiens bourgeois), il s'agissait d'une "guerre des chefs" où Marx aurait utilisé des mesures administratives pour régler des désaccords sur des questions théoriques (comme celle de l'Etat). Rien n'est plus faux.

Milieu politique prolétarien - Une attaque parasitaire contre le BIPR


 
Le CCI n'est pas la seule organisation du milieu de la Gauche communiste à être l'objet d'attaques parasitaires dans la période actuelle. Une attaque similaire a été lancée par le groupe Los Angeles Workers Voice (LAWV) contre le Bureau International pour le Parti Révolutionnaire (BIPR). Tout ceci fait suite à l'effondrement de la branche américaine du BIPR, mise en place à la conférence nord-américaine des sympathisants du BIPR, qui s'était tenue à Montréal en avril 2000. Cette section des sympathisants du BIPR était un regroupement du Los Angeles Workers Voice avec un autre sympathisant, AS, alors basé dans le Wisconsin, maintenant dans l'Indiana.

Conférence extraordinaire du CCI : Le combat pour la défense des principes organisationnels

Le CCI a pris la décision, au début de cette année, de transformer le 15e Congrès de sa section en France en une Conférence Internationale Extraordinaire. Cette décision était motivée par l’existence dans le CCI d’une crise organisationnelle qui a brutalement éclaté au grand jour au lendemain de son 14ème Congrès International en avril 2001.

Face aux attaques parasitaires contre le CCI - Compte-rendu de la réunion publique du 4 mai à Paris



Le combat pour la défense des principes du mouvement ouvrier

Le samedi 4 mai le CCI a tenu une réunion publique à Paris sur le thème "La défense des organisations communistes, une tâche difficile mais indispensable".
Bien que les résultats du premier tour des élections présidentielles en France et la gigantesque campagne antifasciste qui les ont suivis auraient pu justifier que nous modifiions le thème de cette réunion publique, notre organisation a pris la décision de maintenir le thème initial. Cette décision, comme nous l'avons dit au cours de la présentation, était motivée par la gravité de l'attaque que subit notre organisation à l'heure actuelle avec la campagne de calomnies de la part de quelques ex-membres du CCI regroupés sous le nom de "fraction interne du CCI" autour du citoyen Jonas, exclu de notre organisation pour indignité politique. Face à cette situation, il était de la responsabilité du CCI d'assurer de façon prioritaire sa défense en même temps que celle des principes de fonctionnement des organisations communistes. En effet, sans organisation, il n'y a pas d'intervention possible et c'est justement ce que visent l'État bourgeois et ses complices du milieu parasitaire : détruire les organisations révolutionnaires de l'intérieur et les discréditer face à la classe ouvrière en semant le trouble et la confusion auprès des éléments à la recherche d'une perspective de classe.

CONFERENCE EXTRAORDINAIRE DU CCI : Le combat pour la défense des principes des principes de fonctionnement de l'organisation

Face au danger de dégénescence

  • Le combat pour la défense des principes des principes  de fonctionnement de l'organisation

Le CCI a pris la décision, au début de cette année, de transformer le 15ème Congrès de sa section en France en une Conférence Internationale Extraordinaire.
La tâche principale de cette Conférence a été d'affronter une crise organisationnelle, la plus sérieuse depuis la naissance du CCI, qui a brutalement éclaté au grand jour au lendemain de son 14ème Congrès International en avril 2001.

Communiqué à nos lecteurs - Une attaque parasitaire visant à discréditer le CCI


De tout temps les organisations révolutionnaires ont eu à se défendre contre des tentatives visant à les discréditer (voir notre article "le combat des organisations révolutionnaires contre la provocation et la calomnie" paru dans Révolution Internationale n°321 ou voir ici) et le CCI, tout au long de son existence, n'a pas été épargné.

Communiqué à nos lecteurs : le CCI vient d'exclure un de ses membres



Le CCI vient d'exclure un de ses membres. Une telle mesure n'est pas fréquente de la part de notre organisation. La dernière exclusion d'un membre du CCI remonte à 1995 et la précédente avait eu lieu en 1981. En effet, nous n'appliquons une telle sanction que face à des fautes extrêmement graves, et c'est pour cela qu'en général, nous l'accompagnons d'un communiqué dans la presse parce que nous considérons que l'élément qui est sanctionné représente un danger, non seulement pour notre organisation mais également pour l'ensemble du milieu politique prolétarien et les sympathisants de la Gauche communiste.
 

Le combat des organisations révolutionnaires contre la provocation et la calomnie - Communiqué à nos lecteurs


 
Depuis ses origines, le mouvement ouvrier a dû faire face à la répression de la bourgeoisie. Cependant, ce serait une grave erreur - une naïveté extrême - que de croire que cette répression ne prend que la forme d'une répression physique exercée contre les grèves ou les soulèvements ouvriers.
La révolution prolétarienne est la première de l'histoire dont le succès dépendra fondamentalement de la conscience de la classe révolutionnaire de ses propres buts, de la finalité de son combat contre le capitalisme : le communisme. Inévitablement dans la société capitaliste, cette conscience historique se développe de façon hétérogène au sein du prolétariat, et c'est pourquoi la conscience de classe révolutionnaire est cristallisée d'abord dans des organisations politiques, avant-gardes minoritaires de la classe ouvrière.

 

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