Trotskysme

Affrontements Hamas / Fatah : les organisations trotskistes soutiennent les cliques sanguinaires de la bourgeoisie

Face à un tel déchaînement de violence et de barbarie, comment se positionnent les organisations trotskistes, telles Lutte Ouvrière (LO) ou bien encore la Ligue Communiste Révolutionnaire (LCR) ?

Guerre au Proche-Orient : comment le trotskisme diffuse son poison nationaliste

Derrière leur propagande "pacifiste, les trotskistes ne font encore que semer l’illusion que la paix serait possible dans le capitalisme et qu’une "solidarité internationale" entre les Etats toutes classes confondues pourraient mettre fin à la barbarie guerrière.

Mondial 2006 : Quand la LCR porte fièrement le maillot national

De retour sur le sol national, l’équipe de France de football a reçu une   ovation enthousiaste de toute la classe politique. Jacques Chirac, en chef d’Etat, a ainsi rendu un hommage appuyé aux ‘Bleus’ en déclarant  solennellement : "Vous avez fait à tous égards honneur à la France" . 

Kermesse de "Lutte Ouvrière" : un discours radical pour mieux tromper les ouvriers

Lutte Ouvrière a tenu, comme chaque année lors du week-end de Pentecôte, sa grande fête dans le parc de son château. Encore une fois, l’attraction principale fut sans conteste les inimitables discours contorsionnistes tenus par LO, maniant d’un côté une phraséologie radicale et combative pour de l’autre saper toute volonté de lutte en rabattant les ouvriers vers les ‘solutions’, en forme d’impasse, de la gauche.

Gauchisme : Comment "Lutte Ouvrière" s'est engagée sur le front anti-CPE

Pour ne pas "se couper" du mouvement social, la gauche a été contrainte de "durcir " peu à peu le ton contre le gouvernement Villepin, son CPE, son CNE et sa loi sur "l'égalité des chances", sous peine de se discréditer aux yeux de la classe ouvrière. Il a été frappant de voir se reconstituer à l'issue de ce mouvement la grande famille de la "gauche plurielle".
 

'Lutte Ouvrière' exclut de ses forums un sympathisant du CCI

Nous publions ci-dessous une lettre d’un de nos sympathisant qui a « commis le crime » de rappeler, preuves à l’appui, l’appel à voter Mitterand aux élections présidentielles de 1974 et 1981.

Pour cela, LO l’a purement est simplement interdit d’accès à ses forums !

Contribution de Russie - La classe non identifiée: la bureaucratie soviétique vue par Léon Trotsky

Quel était la nature du système ayant existé dans notre pays pendant la pé­riode « soviétique » ?

C'est certainement une des questions princi­pales de l'histoire et, dans une certaine me­sure, des autres sciences sociales. Et ce n'est pas seulement une question académique : elle est très liée à l’époque contemporaine car il est im­possible de comprendre les réali­tés d'aujourd'hui sans connaître celles d'hier.

Fête de Lutte Ouvrière 2005: L'extrême gauche sabote la réflexion politique

Cette année, la grande kermesse annuelle de l’organisation trotskiste Lutte Ouvrière, qui s’est tenue les 14, 15 et 16 mai, dans le parc de son château de Presle en France, était placée sous le signe de la nouveauté. Et des nouveautés il y en a eu. La fête de LO a fait "peau neuve" et le résultat n’est pas passé inaperçu.

"Lutte Ouvrière", un fidèle promoteur de la supercherie électorale

L'organisation trotskiste Lutte Ouvrière (LO) qui s'était tenue à l'écart du référendum de 1992 sur Maastricht, s'est cette fois engagée résolument dans le camp du Non dans la campagne sur le référendum relatif à la Constitution européenne. Cette organisation qui se prétend "révolutionnaire" et qui proclame "défendre les travailleurs" se retrouve dans la cohorte des tenants d'un "Non de gauche" aux côtés du PCF, de la LCR, d'une partie du PS. Avec quelle argumentation ? Pourquoi ?

Le trotskysme contre la classe ouvrière

Né comme courant d'opposition opportuniste à la dégenérescence de l'Internationale communiste et la contre-révolution stalinienne, le trotskysme est passé définitivement du côté de la classe dominante avec son soutien au camp "démocratique" lors de la deuxième guerre mondiale impérialiste. Sa nature fondamentalement anti-ouvrière n'a fait que se confirmer depuis.

Courrier de lecteur : Sommes nous trop "durs" avec les trotskistes ?

Nous avons reçu un courrier d’un lecteur qui, entre autres questions nous transmet la remarque suivante : "(…) Je suis en train de lire les brochures et livres que j’ai pris lors de la dernière réunion [publique du CCI] (Décadence, Gauche Italienne, RI…). Je le dis franchement, j’ai beaucoup de sympathie pour vos idées; par contre j’ai une petite critique (constructive) à faire. Même si je ne suis pas trotskiste, je crois que le ton qu’emploie RI envers les trotskistes est trop dur et que ça vous donne une image de "sectaire" et de "donneur de leçons".

Réponse à un groupe trotskiste ("CRI")Les prolétaires n'ont pas de patrie


Nous avions effectué au début de l’année 2004 un échange d'e-mails avec le groupe Communistes Révolutionnaires Internationalistes (CRI) qui, au nom d’un trotskisme authentique, prétendait rompre avec la logique trotskiste officielle. Nous avions également reçu de la part de ce groupe un certain nombre de documents que nous avons lus, de même que l'ensemble de ses publications en ligne sur son site Internet. Suite à cette lecture, nous avons été en mesure de lui apporter la réponse circonstanciée que nous reproduisons ci-dessous. Dans celle-ci, nous mettons en évidence, en nous appuyant sur Lénine, qu'au sein du trotskisme actuel, il n'existe pas de possibilité de défense des positions du prolétariat. Vouloir rompre avec une organisation trotskiste particulière, sans rompre avec la logique trotskiste même, ne peut aboutir en dernière instance, sur la question de la guerre, qu'à apporter son soutien à une fraction de la bourgeoisie contre une autre.

 L’histoire du mouvement ouvrier a tragiquement appris aux communistes que des partis prétendant défendre la classe ouvrière et l’avènement du socialisme ou du communisme n’avaient, en fait et quelle que soit la conscience qu'en avaient leurs militants, pour objectif véritable que la défaite de la classe ouvrière, le maintien de l’exploitation capitaliste et, finalement, le sacrifice de la vie de millions de prolétaires pour les intérêts de leur bourgeoisie nationale lors des guerres impérialistes du 20e siècle.

Fête de "Lutte ouvrière" 2004 : Comment embrouiller la conscience des prolétaires

Aujourd'hui, l'accumulation d'atrocités comme actuellement en Irak, la généralisation du terrorisme et l'accélération brutale des attaques contre les conditions de vie de la classe ouvrière (réforme des retraites, de l'assurance chômage et maladie) suscitent inexorablement une série d'interrogations croissantes chez cette dernière et plus particulièrement au sein de ses minorités les plus avancées.

Quel avenir nous réserve cette société ? Quelle signification peut-on donner à toutes ces attaques ?
Dans ce flot de questionnements, qui offre un terrain propice au développement d'une réflexion en profondeur dans la classe ouvrière sur la nature du capitalisme, il est tout à fait légitime de se demander de quelle façon une organisation telle que Lutte Ouvrière (qui prétend être révolutionnaire) participe à la fructification de ce processus. La question est d'autant plus légitime que vient de se dérouler, du 29 au 31 mai, l'édition 2004 de la fête de LO.

Campagne électorale de LO et de la LCR : Le mensonge d'une prétendue Europe sociale

"Après la baffe électorale des élections régionales, à la tonalité clairement anti-libérale, la droite n'en demeure pas moins résolue à faire passer son programme de démolition sociale (...) Dans ces conditions, il est clair que les prochaines élections européennes devront enfoncer le clou : le gouvernement C.R.S. (Chirac, Raffarin, Sarkozy) et sa politique libérale n'ont plus la moindre légitimité. Par la rue et par les urnes, ils doivent être chassés" (Bulletin de la Fédération des Bouches-du-Rhône de la Ligue Communiste Révolutionnaire). Sur la même longueur d'onde, Lutte Ouvrière déclare dans son n° 1867 : "A coup sûr, les élections européennes offrent une nouvelle occasion de désavouer la politique de ce gouvernement à plat ventre devant le grand patronat et le Medef et qui, après avoir amputé les retraites, s'attaque à l'assurance maladie, au droit de se soigner convenablement. Ce serait dommage de ne pas se saisir de l'occasion." (Editorial d'Arlette Laguiller).

La contribution de "Lutte Ouvrière" à la mystification électorale (2004)

Dans un éditorial signé Arlette Laguiller et titré "Un vote qui fait plaisir, mais qui n'est pas suffisant", l'hebdomadaire trotskyste Lutte Ouvrière du 26 mars lâche deux ou trois petites phrases qui soulèvent pour le moins quelques questions. Après avoir clamé sa satisfaction suite au deuxième tour des élections régionales : "Au bout de deux ans de gouvernement, les électeurs ont dit son fait à Raffarin. Et c'est bien réjouissant!", LO explique sa conception de l'électoralisme : "Les élections ne peuvent apporter le bonheur, elles ne peuvent que redonner le moral. Espérons que celles-ci le feront. En tout cas, ni LO ni la LCR ne sont des partis électoralistes, même s'ils se présentent aux élections. Car ils ne cherchent aucune place dans l'appareil d'État, qui ne peut être qu'au service de la bourgeoisie."

Histoire du courant trotskiste : La véritable origine bourgeoise de "Lutte Ouvrière"

La véritable histoire de Lutte Ouvrière. Le livre est récent et son titre pour le moins alléchant.

  • D'où vient la principale composante du mouvement trotskiste en France ?
  • Où plonge-t-elle ses racines politiques ?

La question est d'autant plus légitime que l'on juge du camp auquel appartient une organisation politique dans un premier temps de sa filiation. Ce recueil d'entretiens réalisé par Christophe Bourseiller (écrivain et journaliste bourgeois intronisé pour l'occasion spécialiste de l'extrême gauche) avec le méconnu gourou de LO, Robert Barcia (alias Hardy), s'il sert avant tout de "coming out" pour ce dernier, une façon de polir l'image trop sectaire de son groupe, aborde tout de même le chapitre de l'origine historique de l'Union Communiste (nom politique de LO).

Alliance électorale entre LO et la LCR : un nouveau piège pour la classe ouvrière

Face à une telle promotion (commerciale), quel crédit les ouvriers peuvent-ils accorder à ce produit électoral que constitue le tandem Laguiller-Besancenot. Autrement dit, LO et la LCR sont-elles des organisations révolutionnaires comme elles le prétendent ?

tribune sénatoriale pour "Lutte Ouvrière"

Il faut rappeler qu'en 2001, LO a présenté des candidats aux élections sénatoriales. Depuis quand les élections sénatoriales permettent-elles d'être une tribune pour exposer le programme révolutionnaire ? LO ne répond pas à cette interpellation et de toute façon aucun article de sa presse n'en parle, aucun discours d'Arlette ou de ses sbires sur le sujet.

A propos du livre de Besancenot : les cent recettes de la LCR pour ne pas détruire le capitalisme

"Un autre monde est possible." Ce slogan nous le connaissons tous, il est devenu la marque de fabrique de ce fameux courant anti-mondialisation dans lequel la Ligue Communiste Révolutionnaire occupe, du moins en France, une place de choix.

Argentine, les trotskistes défendent les intérêts de la bourgeoisie


La classe dominante s'inquiète de la possibilité que la crise économique qui conduit l'économie argentine à la faillite, ne s'étende à d'autres pays d'Amérique Latine, notamment le Venezuela, la Colombie, et l'Uruguay. Elle craint le retour d'une crise comme celle qui a frappé le Sud-Est asiatique en 1997, voire quelque chose de pire qualitativement et quantitativement.
Le Fonds Monétaire International ayant écarté toute possibilité de nouveaux emprunts, la seule alternative qui reste pour l'Etat argentin, est de frapper encore plus durement la classe ouvrière et les autres couches non-exploiteuses par ses mesures d'austérité.
Une série d'attaques contre les conditions de vie de la classe ouvrière a provoqué des grèves, des manifestations, et d'autres formes de lutte. Dans RI n°316 nous en avons donné des exemples, tout en soulignant les obstacles auxquels la classe ouvrière fait face : la force des syndicats, le poids des idéologies nationalistes et autres, le danger de se laisser emporter dans la marée d'un mouvement incluant d'autres classes sociales, avec d'autres intérêts et d'autres méthodes de lutte.

Le programme de Lutte Ouvrière c'est la défense zélée du capitalisme

La candidate à l'élection présidentielle Arlette Laguiller prétend que son programme est l'expression de la défense des intérêts de la classe ouvrière. Mensonges ! Duperie sur toute la ligne ! Ses grands thèmes martelés tout au long de la campagne électorale sont non seulement destinés à engager un maximum d'ouvriers sur le terrain électoral bourgeois mais aussi à enfermer les prolétaires dans de dangereuses illusions réformistes et à dénaturer le sens même de la lutte de classe. Quel est donc ce "programme" ?

"Faire payer les riches"

"faire payer le patronat", "prélever l'argent sur les profits patronaux" ou "sur la fortune des actionnaires" pour "redistribuer les richesses sociales et financer les emplois" , autrement dit la formule qu'emploie également LO : "faire payer les riches " . Cette bonne vieille recette de la gauche dans l'opposition a fait en son temps les choux gras du PCF, en particulier quand le parti stalinien s'en prenait aux "200 familles" dans les années 1930. Ce n'est rien d'autre qu'une vaste entreprise de mystification qui revient à faire croire que la solution au chômage et à la misère engendrés par le capitalisme se trouverait dans une meilleure gestion de ce système. Cela ne fait que renvoyer en permanence aux prolétaires l'idée d'un capitalisme viable, un système qu'il suffirait de réformer, qu'il serait possible d'orienter dans un sens favorable aux travailleurs et surtout qu'il n'est pas nécessaire de détruire. Pour exploiter ce filon électoral, notre "Arlette nationale" va jusqu'à reprendre aujourd'hui à son compte la vieille idée d'autogestion galvaudée par les anarchistes d'un côté, par le "modèle yougoslave" à la Tito de l'autre en passant par les courants ouvertement réformistes comme le PSU à la fin des années 1960 et dans les années 1970, reprise par un syndicat comme la CFDT à l'époque.
Quelle que soit la couleur au goût du jour de la façade : au nom plus libertaire de l'autogestion ou au nom d'une phraséologie empruntée au marxisme comme l'appropriation collective des moyens de production, le fonds de commerce reste le même : LO et sa candidate répandent le mythe que la misère croissante engendrée par le capitalisme n'est pas le résultat d'un système aux abois mais une simple question de gestion et de "répartition des richesses". Elles prétendent que les inégalités sociales et le chômage viennent de ce que les "riches" amassent du fric qu'ils ne veulent pas partager, et non pas de la logique même des rapports de production capitalistes. Depuis Marx dans sa brochure "Salaire, prix et profit", tous les révolutionnaires n'ont jamais cessé de combattre l'illusion qu'il n'y a pas de société juste et équitable dans le cadre du capitalisme, que la seule réponse historique que puisse apporter le prolétariat face aux iniquités engendrées par ce système, c'est de le détruire, d'abolir le salariat en développant les luttes contre l'exploitation de la force de travail et les rapports capitalistes de production. En masquant le caractère antagonique et inconciliable des intérêts des ouvriers avec ceux du capital, LO cherche à ramener les ouvriers derrière la défense de leur entreprise et de l'Etat bourgeois. Quand il arrive à LO de parler de crise, ce n'est jamais pour y voir la manifestation de la faillite du système qui fonde la nécessité et la possibilité de la révolution prolétarienne. C'est pour la présenter soit comme un mythe inventé par les méchants patrons pour s'en mettre davantage plein les poches, soit comme le produit d'une mauvaise gestion de l'entreprise. En même temps, en désignant la poche des "patrons privés" comme cause de la misère des exploités, LO dédouane le premier responsable de l'austérité capitaliste et du chômage, le premier donneur d'ordre des licenciements et de la régression sociale : l'Etat de la société bourgeoise qui ne peut être qu'un Etat bourgeois, capitaliste. Pour LO, la solution est toute trouvée : il suffirait de concentrer les moyens de production aux mains de l'Etat. Car cet Etat et par voie de conséquence son gouvernement sont présentés comme un arbitre au-dessus des classes sociales, qui pourraient indifféremment pencher en faveur de l'une ou de l'autre classe : la bourgeoisie ou le prolétariat. Le reproche qu'adresse LO à la gauche au gouvernement, c'est "de se mettre au service des patrons", de "faire des cadeaux au patronat". LO masque ainsi la nature de l'Etat capitaliste en faisant croire que c'est lui qui sert les patrons privés alors que c'est la politique des patrons privés qui est bel et bien au service de la défense du capital national dont l'Etat représente le garant, le meilleur et le plus rigoureux représentant. En réalité, le gouvernement "n'obéit" nullement aux patrons mais ce sont les patrons qui sont contraints d'obéir à l'Etat et aux intérêts du capital national. Cette recette miracle c'est la même camelote, les mêmes vieilles recettes que le PCF a servi pendant des décennies : mieux gérer le capitalisme, c'est marcher vers une économie rationnellement organisée et planifiée, capitaliste d'Etat, il suffit que l'Etat "s 'approprie et contrôle les moyens de production" sur le modèle stalinien au nom de "l'Etat ouvrier" qui en URSS aurait fait pendant 70 ans "la preuve de sa supériorité économique". La raison profonde de cette mystification, c'est que LO a pris la place et le flambeau du PC stalinien pour apparaître aujourd'hui comme le plus fervent défenseur, le champion du capitalisme d'Etat.

L'expérience fasciste du courant trotskiste dégénérescent

A la veille de la seconde guerre mondiale, le courant trotskiste, dans sa très grande majorité, connaît une accélération de la dérive opportuniste qui le marque déjà depuis plusieurs années. Cela va le mener jusqu’à l’abandon du camp prolétarien quand il lui faudra prendre position face à la guerre impérialiste. Si on excepte les quelques réactions saines qui se sont exprimées en son sein comme celle des RKD (Révolutionare Komunistiche Deutschland) en Allemagne, ce courant a ainsi trahi l’internationalisme prolétarien.

3a) Le rôle actif des trotskistes dans la stratégie de la bourgeoisie : Introduction


Dans l'énorme opération anti-ouvrière montée par la bourgeoisie lors de la lutte des hôpitaux, les gauchistes -et en particulier les trotskystes de "Lutte Ouvrière" et de la "Li­gue Communiste Révolutionnaire"- ont joué un rôle de premier plan et de grande enver­gure. Fers de lance de la mise sur pied des coordinations qui se sont partagé l'encadre­ment des travailleurs en lutte, champions de première de la magouille et de la manipula­tion au sein des assemblées convoquées par celles-ci, ils ont contribué efficacement au succès de la manœuvre d'ensemble de la bourgeoisie. Ils ont ainsi fait une fois de plus la preuve que la bourgeoisie peut compter sur eux contre les ouvriers !

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